Mamadou Lamine Dianté va quitter la tête du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire du Sénégal (Saemss-Cusems), lors de leur troisième Congrès ordinaire prévu les 24 et 25 septembre prochain à l’Université Cheikh Anta Diop.
Après deux (2) mandats (2010-2013 et 2013-2016), Mamadou Lamine Dianté, dit partir avec le sentiment «d'un devoir accompli». Joint au téléphone par "LeQuotidien", le syndicaliste se félicite des acquis obtenus grâce à la lutte menée par lui et son équipe. Il s'agit entre autres de l'informatisation des actes administratifs qui sont publiés, le payement des rappels, le traitement des dossiers de validation, la réunion de la commission d'avancement des titres qui ne s'est pas réunie depuis 3 ans.
A cela, il ajoute les résultats obtenus par le Saemss-Cusems aux dernières élections des représentants du personnel aux commissions administratives paritaires et aux conseils de discipline de 2016, les élections des représentants du personnel (Cap/Cd).
«Le Saemss est majoritaire dans le moyen-secondaire avec 62%. C'est remarquable, nous sommes majoritaires dans ce secteur», s'est-il réjoui.
Satisfait de ces performances, Dianté ne cache pas son regret sur d'autres points de leur lutte qui ne sont pas encore réglés. «Il reste à satisfaire la formation diplômante, les passerelles de formation, et le régime indemnitaire», a-t-il déploré. Un combat qu'il continuera de porter sûrement avec sa casquette de coordonnateur du Grand cadre des enseignants qu'il va continuer d'occuper jusqu'au mois de janvier 2017.
C'est d'ailleurs sous cette casquette que le syndicaliste s'est fait beaucoup remarquer ces dernières années, avec sa capacité d'en découdre avec les autorités pour la satisfaction des revendications des enseignants.
Le successeur de Mamadou Lamine Dianté sera ainsi connu lors du Congrès prévu à l'Ucad 2 les 24 et 25 septembre prochains. «Quelle nouvelle offre syndicale face aux tentatives de négation des libertés des travailleurs ?», sera le thème sur lequel porteront les discussions. «Une cinquantaine d'enseignants du Saemss, des représentants des syndicats et autres structures de dialogue social participeront aux plénières de formation et à la journée syndicale», a-t-on fait savoir.
Après deux (2) mandats (2010-2013 et 2013-2016), Mamadou Lamine Dianté, dit partir avec le sentiment «d'un devoir accompli». Joint au téléphone par "LeQuotidien", le syndicaliste se félicite des acquis obtenus grâce à la lutte menée par lui et son équipe. Il s'agit entre autres de l'informatisation des actes administratifs qui sont publiés, le payement des rappels, le traitement des dossiers de validation, la réunion de la commission d'avancement des titres qui ne s'est pas réunie depuis 3 ans.
A cela, il ajoute les résultats obtenus par le Saemss-Cusems aux dernières élections des représentants du personnel aux commissions administratives paritaires et aux conseils de discipline de 2016, les élections des représentants du personnel (Cap/Cd).
«Le Saemss est majoritaire dans le moyen-secondaire avec 62%. C'est remarquable, nous sommes majoritaires dans ce secteur», s'est-il réjoui.
Satisfait de ces performances, Dianté ne cache pas son regret sur d'autres points de leur lutte qui ne sont pas encore réglés. «Il reste à satisfaire la formation diplômante, les passerelles de formation, et le régime indemnitaire», a-t-il déploré. Un combat qu'il continuera de porter sûrement avec sa casquette de coordonnateur du Grand cadre des enseignants qu'il va continuer d'occuper jusqu'au mois de janvier 2017.
C'est d'ailleurs sous cette casquette que le syndicaliste s'est fait beaucoup remarquer ces dernières années, avec sa capacité d'en découdre avec les autorités pour la satisfaction des revendications des enseignants.
Le successeur de Mamadou Lamine Dianté sera ainsi connu lors du Congrès prévu à l'Ucad 2 les 24 et 25 septembre prochains. «Quelle nouvelle offre syndicale face aux tentatives de négation des libertés des travailleurs ?», sera le thème sur lequel porteront les discussions. «Une cinquantaine d'enseignants du Saemss, des représentants des syndicats et autres structures de dialogue social participeront aux plénières de formation et à la journée syndicale», a-t-on fait savoir.