’’La conséquence de cette décision est que le document que le ministère de l’Education nous a envoyé n’est pas conforme aux propositions faites par le président de la république’’, a expliqué Yancoba Seydi, coordonnateur de la section SAES de Dakar, à la fin de l’assemblée générale d’information.
Le président Abdoulaye Wade avait reçu en audience, mardi et mercredi derniers, une délégation du bureau du SAES conduite par son secrétaire général, Seydi Ababacar Ndiaye.
Après plusieurs échanges, le président Wade avait qualifié de ’’légitimes’’ revendications avant de donner ’’des instructions fermes à son gouvernement pour la résolution’’ des problèmes des enseignants, a indiqué M. Seydi.
De leur coté les représentants du syndicat ont toutefois dit qu’ils n’ont aucune crainte en ce qui concerne les engagements du chef de l’Etat en personne, mais leurs doutes proviennent de la disposition des ministres à exécuter rapidement les décisions arrêtées.
’’Nous sommes persuadés que s’il revenait au président de la République et à lui tout seul de mettre en œuvre ces mesures, il l’aurait fait dans les plus brefs délais’’, avait estimé le Secrétaire général du SAES.
‘’Aujourd’hui, après appréciation du communiqué que le ministère tutelle nous a envoyé sur les instructions et propositions du chef de l’Etat ce qu’on a vu est très loin de ce qu’il nous a proposé’’, a indiqué M. Seydi, ajoutant que c’est la raison pour laquelle ’’l’assemblée générale a décidé de poursuivre la lutte’’.
APS
Le président Abdoulaye Wade avait reçu en audience, mardi et mercredi derniers, une délégation du bureau du SAES conduite par son secrétaire général, Seydi Ababacar Ndiaye.
Après plusieurs échanges, le président Wade avait qualifié de ’’légitimes’’ revendications avant de donner ’’des instructions fermes à son gouvernement pour la résolution’’ des problèmes des enseignants, a indiqué M. Seydi.
De leur coté les représentants du syndicat ont toutefois dit qu’ils n’ont aucune crainte en ce qui concerne les engagements du chef de l’Etat en personne, mais leurs doutes proviennent de la disposition des ministres à exécuter rapidement les décisions arrêtées.
’’Nous sommes persuadés que s’il revenait au président de la République et à lui tout seul de mettre en œuvre ces mesures, il l’aurait fait dans les plus brefs délais’’, avait estimé le Secrétaire général du SAES.
‘’Aujourd’hui, après appréciation du communiqué que le ministère tutelle nous a envoyé sur les instructions et propositions du chef de l’Etat ce qu’on a vu est très loin de ce qu’il nous a proposé’’, a indiqué M. Seydi, ajoutant que c’est la raison pour laquelle ’’l’assemblée générale a décidé de poursuivre la lutte’’.
APS