’’Jusqu’en 2015, il n’y aura pas de gros problèmes d’approvisionnement en eau à Dakar, mais à partir de 2015, il faut regarder quelles sont les ressources supplémentaires’’, a notamment dit M. Sarr qui défendait devant les sénateurs le vote du projet de loi portant création de l’Office du Lac de Guiers.
Selon le ministre, l’Etat du Sénégal pense à d’autres alternatives telle que la désalinisation de l’eau de mer.
’’Des négociations sont en cours avec des partenaires en vue de créer une usine de désalinisation. 15 offres ont été reçues et le gouvernement va choisir une option dans les plus brefs délais’’, a ajouté M. Sarr.
En attendant l’aboutissement de ce recours, il faut, a-t-il souligné, que la qualité et la quantité de l’eau soient bien gèrées au niveau du Lac de Guiers qui alimente la ville de Dakar à hauteur actuellement de 35 pour cent. Ce volume pourrait atteindre 49 pour cent avec la fin des ouvrages qui sont en train d’être réalisés, a indiqué le ministre.
300 villes et villages sont également desservis à partir de ce lac dont l’eau est ‘’nationale’’, selon le ministre qui partant de là relève que la gestion du cours d’eau doit aussi bien concerner les collectivités locales que les parlementaires et les populations riveraines.
’’L’Office du Lac de Guiers ne va pas rapporter en termes financiers mais plutôt en termes de santé publique et de qualité de l’eau’’, a affirmé le ministre de l’hydraulique avant ce donner l’assurance que la création de la structure n’aura aucun impact sur le prix de l’eau.
M. Sarr a ajouté que l’Office du Lac de Guiers dont la direction sera installée à Richard-Toll dans la région de Saint-Louis (nord) sera une entreprise nationale à caractère industriel et commercial (EPIC) et aura pour mission d’assurer la gestion de la qualité et de la durabilité de l’eau.
Les sénateurs ont voté à l’unanimité le projet de loi portant création de l’Office du Lac de Guiers. Les députés, réunis en session plénière en décembre dernier, avaient déjà adopté à l’unanimité le même projet de loi.
Selon le ministre, l’Etat du Sénégal pense à d’autres alternatives telle que la désalinisation de l’eau de mer.
’’Des négociations sont en cours avec des partenaires en vue de créer une usine de désalinisation. 15 offres ont été reçues et le gouvernement va choisir une option dans les plus brefs délais’’, a ajouté M. Sarr.
En attendant l’aboutissement de ce recours, il faut, a-t-il souligné, que la qualité et la quantité de l’eau soient bien gèrées au niveau du Lac de Guiers qui alimente la ville de Dakar à hauteur actuellement de 35 pour cent. Ce volume pourrait atteindre 49 pour cent avec la fin des ouvrages qui sont en train d’être réalisés, a indiqué le ministre.
300 villes et villages sont également desservis à partir de ce lac dont l’eau est ‘’nationale’’, selon le ministre qui partant de là relève que la gestion du cours d’eau doit aussi bien concerner les collectivités locales que les parlementaires et les populations riveraines.
’’L’Office du Lac de Guiers ne va pas rapporter en termes financiers mais plutôt en termes de santé publique et de qualité de l’eau’’, a affirmé le ministre de l’hydraulique avant ce donner l’assurance que la création de la structure n’aura aucun impact sur le prix de l’eau.
M. Sarr a ajouté que l’Office du Lac de Guiers dont la direction sera installée à Richard-Toll dans la région de Saint-Louis (nord) sera une entreprise nationale à caractère industriel et commercial (EPIC) et aura pour mission d’assurer la gestion de la qualité et de la durabilité de l’eau.
Les sénateurs ont voté à l’unanimité le projet de loi portant création de l’Office du Lac de Guiers. Les députés, réunis en session plénière en décembre dernier, avaient déjà adopté à l’unanimité le même projet de loi.