« L’Etat envisage de faire passer désormais la subvention accordée annuellement à la SENELEC de 120 à 80 milliards de FCFA ». La révélation est faite par Gora Niang de la direction de l’Energie qui indique que pour résorber ce gap financier, l’Etat mise sur le mixte énergétique et l’ouverture du secteur de l’énergie aux privés.
Une rencontre organisée par « France volontaire » en partenariat avec « Africa Solar », dans le cadre de la Journée mondiale de l’Environnement a servi d’occasion à Gora Niang pour faire part d’une baisse en vue de la subvention de l’Etat à la société d’énergie. « L’Etat accorde annuellement à la SENELEC une subvention importante de l’ordre de 120 milliards de FCFA. Mais aujourd’hui, dans sa nouvelle politique, il compte réduire considérablement ce soutien pour l’orienter vers d’autres secteurs et ouvrir le secteur énergétique aux privés. Cela, en misant sur le mixte énergétique », a-t-il informé.
Annonçant une restructuration au niveau de l’outil de production, Gora Niang de la direction de l’Energie confie dans les colonnes de « L’observateur » que « cette subvention à la SENELEC, à la longue, est devenue insupportable et intenable pour l’Etat ». Il note toutefois que des innovations nécessaires seront apportées en vue d’accroître les flux dans le secteur énergétique.
Une rencontre organisée par « France volontaire » en partenariat avec « Africa Solar », dans le cadre de la Journée mondiale de l’Environnement a servi d’occasion à Gora Niang pour faire part d’une baisse en vue de la subvention de l’Etat à la société d’énergie. « L’Etat accorde annuellement à la SENELEC une subvention importante de l’ordre de 120 milliards de FCFA. Mais aujourd’hui, dans sa nouvelle politique, il compte réduire considérablement ce soutien pour l’orienter vers d’autres secteurs et ouvrir le secteur énergétique aux privés. Cela, en misant sur le mixte énergétique », a-t-il informé.
Annonçant une restructuration au niveau de l’outil de production, Gora Niang de la direction de l’Energie confie dans les colonnes de « L’observateur » que « cette subvention à la SENELEC, à la longue, est devenue insupportable et intenable pour l’Etat ». Il note toutefois que des innovations nécessaires seront apportées en vue d’accroître les flux dans le secteur énergétique.