Le président du Groupe parlementaire Libéral et Démocratique, Doudou Wade n'a pas varié dans sa ligne élogieuse en direction du chef de l'Etat. Il est largement revenu sur les évènements du 23 juin qui ont poussé au retrait du projet de loi instituant le ticket présidentiel au quart de tour. Pour lui, "cela a démontré que Abdoulaye Wade est un président qui écoute son peuple". Il a ainsi salué sa grandeur avant de remercier et de louer le rôle des religieux, des forces de l'ordre et d'autres entités du pays.
L'Etat de droit est garant de la paix, de l'ordre. Donc même s'il y a des garanties, il ne pourrait déroger à certaines règles liées à la paix et à la stabilité du pays. Doudou Wade est revenu de manière générale sur les péripéties de cette journée du 23 juin avant de saluer le rôle de l'Assemblée nationale. Le président du groupe de la majorité a essayé d'absoudre la majorité mécanique en citant quelques cas où elle a dit non aux projets de loi de l'exécutif ou elle a amendé certains textes Il n'a pas manqué de revenir sur quelques urgences notamment la crise énergétique, l'emploi des jeunes, entres autres points. Il a parlé du système électoral pour magnifier l'audit du fichier électoral par l'Union européenne.
Doudou Wade n'a pu finir son discours sans répondre implicitement à l'opposition et la société civile qui mène une campagne pour que Abdoulaye Wade renonce à sa candidature à la présidentielle de février 2012. Il a déclaré: "votre candidature ne souffre d'aucune illégalité. Vous êtes et vous restez notre candidat et nous allons vous réélire au soir du 26 février 2012".
L'Etat de droit est garant de la paix, de l'ordre. Donc même s'il y a des garanties, il ne pourrait déroger à certaines règles liées à la paix et à la stabilité du pays. Doudou Wade est revenu de manière générale sur les péripéties de cette journée du 23 juin avant de saluer le rôle de l'Assemblée nationale. Le président du groupe de la majorité a essayé d'absoudre la majorité mécanique en citant quelques cas où elle a dit non aux projets de loi de l'exécutif ou elle a amendé certains textes Il n'a pas manqué de revenir sur quelques urgences notamment la crise énergétique, l'emploi des jeunes, entres autres points. Il a parlé du système électoral pour magnifier l'audit du fichier électoral par l'Union européenne.
Doudou Wade n'a pu finir son discours sans répondre implicitement à l'opposition et la société civile qui mène une campagne pour que Abdoulaye Wade renonce à sa candidature à la présidentielle de février 2012. Il a déclaré: "votre candidature ne souffre d'aucune illégalité. Vous êtes et vous restez notre candidat et nous allons vous réélire au soir du 26 février 2012".