La mairie des Parcelles assainies a été saccagée et son matériel emporté par des casseurs qui réclamaient de l’électricité pour leur localité.
Interpellé, l’édile a pris avec philosophie ces événements qu’il voyait venir même s’il reconnait qu’il y a beaucoup de dégâts. «J’ai pris les événements d’hier avec philosophie parce que je les voyais déjà venir avent le 23 juin dernier», laissé entendre Moussa Sy qui indique «que les délestages intempestifs ont causé beaucoup de tord aux populations du Sénégal et particulièrement des Parcelles assainies.
«J’ai beaucoup alerté les autorités, à tous les niveaux, sur la récurrence des délestages. On reste parfois 24h sans avoir du courant et les gens en ont ras-le-bol», a-t-il expliqué au micro de sud fm (privée). C’est pourquoi il trouve normal que les populations déversent leur bile dans la voie publique et sur les édifices publics.
Toutefois, il n’a pas épargné certains de ses frères du parti démocratique sénégalais.
«(…) il y a des jaloux qui n’ont pas aimé mon discours du 23 juin à l’Assemblée nationale (NDLIR : il avait plaidé pour le retrait du projet de loi), même au niveau du PDS», a pesté le maire qui souligne : «Nous avons même identifier des gens du PDS qui font partie des casseurs ». «On sait qu’au sein du parti, des gens n’ont pas aimé mon discours à l’assemblée», a-t-il martelé.
Interpellé, l’édile a pris avec philosophie ces événements qu’il voyait venir même s’il reconnait qu’il y a beaucoup de dégâts. «J’ai pris les événements d’hier avec philosophie parce que je les voyais déjà venir avent le 23 juin dernier», laissé entendre Moussa Sy qui indique «que les délestages intempestifs ont causé beaucoup de tord aux populations du Sénégal et particulièrement des Parcelles assainies.
«J’ai beaucoup alerté les autorités, à tous les niveaux, sur la récurrence des délestages. On reste parfois 24h sans avoir du courant et les gens en ont ras-le-bol», a-t-il expliqué au micro de sud fm (privée). C’est pourquoi il trouve normal que les populations déversent leur bile dans la voie publique et sur les édifices publics.
Toutefois, il n’a pas épargné certains de ses frères du parti démocratique sénégalais.
«(…) il y a des jaloux qui n’ont pas aimé mon discours du 23 juin à l’Assemblée nationale (NDLIR : il avait plaidé pour le retrait du projet de loi), même au niveau du PDS», a pesté le maire qui souligne : «Nous avons même identifier des gens du PDS qui font partie des casseurs ». «On sait qu’au sein du parti, des gens n’ont pas aimé mon discours à l’assemblée», a-t-il martelé.