Dans un entretien accordé à Blea-cherreport, Sadio Mané est revenu sur ses premiers pas au Sénégal et sur la réticence de ses deux parents à l’idée de le voir tout miser dans le football, en opposition totale avec sa détermination et sa motivation sans frontières.
« Je suis né dans un village où il n’y avait jamais eu de footballeur ayant participé aux grands championnats. Je me souviens que quand j’étais petit, mes parents pensaient que je devais étudier pour devenir professeur. Ils pensaient que le football était une perte de temps et que je n’y arriverais jamais », a confié Sadio Mané, qui a fait ses classes à l’Académie Génération Foot avant de rallier la France et le FC Metz en 2010.
« J’ai toujours dit : « C’est le seul travail qui me permettra de t’aider. Et je pense que j’ai une chance de devenir footballeur », a ensuite ajouté l’ailier de Liverpool, auteur d’un début de saison plus que satisfaisant avec les Reds. « Ils n’en étaient pas sûrs car j’étais loin de la capitale et presque personne n’y était parvenu. Ils étaient donc contre, et ils n’y ont jamais cru, jusqu’au jour où j’ai signé mon premier contrat professionnel. »
«Pour eux, ce n’était pas possible. Ils n’étaient pas tout à fait faux parce que ce n’était pas simple, mais je voulais réaliser mon rêve de devenir footballeur. J’ai tout donné. Au point où ils n’avaient pas vraiment le choix, ils ont commencé à m’aider et cela a fonctionné. Aujourd’hui, ils sont tous fiers », a terminé l’international sénégalais, buteur lors de la dernière finale de Ligue des Champions perdue face au Real Madrid (3-1).
« Je suis né dans un village où il n’y avait jamais eu de footballeur ayant participé aux grands championnats. Je me souviens que quand j’étais petit, mes parents pensaient que je devais étudier pour devenir professeur. Ils pensaient que le football était une perte de temps et que je n’y arriverais jamais », a confié Sadio Mané, qui a fait ses classes à l’Académie Génération Foot avant de rallier la France et le FC Metz en 2010.
« J’ai toujours dit : « C’est le seul travail qui me permettra de t’aider. Et je pense que j’ai une chance de devenir footballeur », a ensuite ajouté l’ailier de Liverpool, auteur d’un début de saison plus que satisfaisant avec les Reds. « Ils n’en étaient pas sûrs car j’étais loin de la capitale et presque personne n’y était parvenu. Ils étaient donc contre, et ils n’y ont jamais cru, jusqu’au jour où j’ai signé mon premier contrat professionnel. »
«Pour eux, ce n’était pas possible. Ils n’étaient pas tout à fait faux parce que ce n’était pas simple, mais je voulais réaliser mon rêve de devenir footballeur. J’ai tout donné. Au point où ils n’avaient pas vraiment le choix, ils ont commencé à m’aider et cela a fonctionné. Aujourd’hui, ils sont tous fiers », a terminé l’international sénégalais, buteur lors de la dernière finale de Ligue des Champions perdue face au Real Madrid (3-1).
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