Les malades et autres responsables des dialysés et diabétiques ont manifesté leur ras-le-bol hier, lundi à l’hôpital de Saint-Louis. Toute est parti de la fermeture du centre des hémodialysés et diabétiques. Cette décision du Directeur, Diame Bob a révolté les personnes souffrant de ces pathologies.
Très en colère, le président de l’Associations des personnes diabétiques, Doudou Diop qui décrit cette « décision prise sans préavis", prévient: "Aujourd’hui la vie de plus de 770 malades est menacée. Ces patients trouvaient dans ce centre tout l’accompagnement dont ils avaient besoin. Nous ne pouvons pas comprendre et accepter le silence des autorités étatiques et du ministre de la Santé sur cette situation… ». Ce centre, selon Daouda Diop a été ouvert à la suite d’une convention avec l’hôpital. Et sa fermeture ne consiste ni plus ni moins qu’un manque de respect notoire.
Interrogé pour donner sa version, le directeur Dame Bob affirme dans les colonnes du journal "l'as" que la convention doit être revue. A propos du matériel, il soutient que celui-ci, après installation, appartient à la structure hospitalière. Les personnes diabétiques et les hémodialysés demandent aux autorités d’arrêter les « dérives » du directeur pour éviter le pire.
Très en colère, le président de l’Associations des personnes diabétiques, Doudou Diop qui décrit cette « décision prise sans préavis", prévient: "Aujourd’hui la vie de plus de 770 malades est menacée. Ces patients trouvaient dans ce centre tout l’accompagnement dont ils avaient besoin. Nous ne pouvons pas comprendre et accepter le silence des autorités étatiques et du ministre de la Santé sur cette situation… ». Ce centre, selon Daouda Diop a été ouvert à la suite d’une convention avec l’hôpital. Et sa fermeture ne consiste ni plus ni moins qu’un manque de respect notoire.
Interrogé pour donner sa version, le directeur Dame Bob affirme dans les colonnes du journal "l'as" que la convention doit être revue. A propos du matériel, il soutient que celui-ci, après installation, appartient à la structure hospitalière. Les personnes diabétiques et les hémodialysés demandent aux autorités d’arrêter les « dérives » du directeur pour éviter le pire.