Tous les élèves de la commune de Saint-Louis sont sortis vers 10 h dans les rues et ont fait le tour de la ville pour déloger les élèves se trouvant dans les écoles primaires, secondaires et dans les lycées pour entamer une marche exigeant la libération d'Ousmane Sonko. Après avoir délogé tous les autres élèves, ils sont descendus dans la rue avenue De Gaulle et progressent vers le pont Faidherbe qu'ils ont bloqué.
Quelques minutes, après avoir commencé la marche pour réclamer la libération d'Ousmane Sonko détenu à la Section de Recherche de Colobane à Dakar, les policiers et gendarmes se sont joints dans la marche en tirant au hasard des grenades lacrymogènes sur les foules pour les disperser.
Selon le "Sud Fm", des jets de pierres sont aussi constatés pendant cette altercation entre les policiers et les élèves. Ces derniers sont soutenus par les "Talibés" et par la population qui sont de la marche". Un violent affrontement qui cause l'arrêt de la circulation, aucune voiture ne circule sur le pont Faidherbe, ni sur l'avenue générale De Gaulle.
De passage dans cette zone, deux ambulances ont été obligées de patienter plus d'une trentaine de minutes avant de pouvoir continuer leur chemin vers l'hôpital régional de Saint-Louis.
Dans la ville de saint louis comme partout au Sénégal les manifestions sont violents, les étudiants de l'université Gaston Berger ont aussi barré la route nationale numéro 2 et les gendarmes n'ont pas répliqué pour éviter de nouveaux affrontements contre les étudiants.
L'avenue générale De Gaulle et le pont Faidherbe sont bloqués, aucune circulation ne passe en ce moment dans la ville.
Quelques minutes, après avoir commencé la marche pour réclamer la libération d'Ousmane Sonko détenu à la Section de Recherche de Colobane à Dakar, les policiers et gendarmes se sont joints dans la marche en tirant au hasard des grenades lacrymogènes sur les foules pour les disperser.
Selon le "Sud Fm", des jets de pierres sont aussi constatés pendant cette altercation entre les policiers et les élèves. Ces derniers sont soutenus par les "Talibés" et par la population qui sont de la marche". Un violent affrontement qui cause l'arrêt de la circulation, aucune voiture ne circule sur le pont Faidherbe, ni sur l'avenue générale De Gaulle.
De passage dans cette zone, deux ambulances ont été obligées de patienter plus d'une trentaine de minutes avant de pouvoir continuer leur chemin vers l'hôpital régional de Saint-Louis.
Dans la ville de saint louis comme partout au Sénégal les manifestions sont violents, les étudiants de l'université Gaston Berger ont aussi barré la route nationale numéro 2 et les gendarmes n'ont pas répliqué pour éviter de nouveaux affrontements contre les étudiants.
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