Palais présidentiel du Sénégal
Le Secrétaire général du parti pour la Rénovation et la citoyenneté (PRC), par ailleurs député à l'Assemblée nationale, Samba Diouldé Thiam, a déclaré ce dimanche 30 mai, en parlant du fameux dossier des 20 milliards de FCFA de commissions sur la vente de la 3e licence de téléphonie, retrouvés dans des comptes à Dubaï, que « cela pose problème dans l’Etat et à l’Etat». «Sur la question de Sudatel et des 20 milliards, je prends acte de l’information car elle est rendue publique avec insistance», s’est justifié l’allié de l’Alliance Sopi pour toujours (AST) qui ajoute : «Je pense que cela pose problème dans l’Etat et à l’Etat».
Ainsi, le député qui était l'invité à l'émission Grand Jury de la Rfm, pense que le Président de la république et l’ensemble de l’Etat sénégalais ont le devoir, vis-à-vis des Sénégalais, plus que vis-à-vis de l’Etranger de fournir les informations qui permettraient de dire ouf.
Même s’il ne sait pas s’il sera entendu, l’ancien compagnon de Amath Dansokho, il estime que c’est un devoir pour lui d’en parler car il ne voudrait pas que cette situation ne soit imputable. «Il ne me plait pas que cette situation ne soit imputable», a noté le député qui poursuit : «Je signale que c’est parce que Sudatel c’est maintenant mais les affaires, ce n’est pas maintenant. Et au total, il me semble et je le dis, pour le bien-être de notre pays, pour l’émergence de notre pays, pour l’avenir de notre pays, il est, absolument, important que l’Etat engage résolument la lutte contre la corruption, contre les gaspillages, contre l’utilisation abusive ou contraire à ses objectifs des ressources des finances publiques», a suggéré Samba Diouldé Thiam qui insiste que «l’Etat a l’obligation de le faire».
Ainsi, le député qui était l'invité à l'émission Grand Jury de la Rfm, pense que le Président de la république et l’ensemble de l’Etat sénégalais ont le devoir, vis-à-vis des Sénégalais, plus que vis-à-vis de l’Etranger de fournir les informations qui permettraient de dire ouf.
Même s’il ne sait pas s’il sera entendu, l’ancien compagnon de Amath Dansokho, il estime que c’est un devoir pour lui d’en parler car il ne voudrait pas que cette situation ne soit imputable. «Il ne me plait pas que cette situation ne soit imputable», a noté le député qui poursuit : «Je signale que c’est parce que Sudatel c’est maintenant mais les affaires, ce n’est pas maintenant. Et au total, il me semble et je le dis, pour le bien-être de notre pays, pour l’émergence de notre pays, pour l’avenir de notre pays, il est, absolument, important que l’Etat engage résolument la lutte contre la corruption, contre les gaspillages, contre l’utilisation abusive ou contraire à ses objectifs des ressources des finances publiques», a suggéré Samba Diouldé Thiam qui insiste que «l’Etat a l’obligation de le faire».