Axées sur le thème : ‘’Psychiatrie et féminité au cœur de la culture’’, ces rencontres regroupent les psychiatres, psychologues et autres spécialistes de la santé mentale du Sénégal, de l’Afrique francophone, du Maghreb et de l’Europe, a précisé dans un entretien avec l’APS le docteur Adotévi Anani Félicien.
Selon le co-président du congrès, qui se tiendra à l’hôtel Téranga, le thème de cette année veut ‘’rendre un hommage particulier à toutes les femmes violemment déchirées, victimes de tout un tas de violences pendant les guerres et à travers les faits sociaux tels que le viol, le harcèlement, etc.’’.
Au-delà de cet aspect, le congrès entend s’interroger sur la place de la femme au regard des mutations, sociales, culturelles et économiques auxquelles les sociétés font face.
‘’Nous allons aborder sous des angles multiples l’évolution du statut de la femme africaine à l’heure des mutations. Toute la question de l’être femme et du féminin qui vaut être posée dans l’exercice des professionnels du champ de la psychiatrie’’, a expliqué le psychiatre.
‘’Ces rencontres sont aussi un questionnement sur la femme d’hier et d’aujourd’hui, sur le rôle des psychiatres dans le combat pour l’émancipation de la femme’’, a-t-il aussi noté, ajoutant qu’elles permettront à ses collègues de s’interroger sur la part à prendre dans ce combat.
‘’Face à la femme, meurtrie, parfois marquée à jamais, est-ce que nous devons garder notre neutralité bienveillante ou devons nous prendre une part active dans ce combat ?’’, s’est interrogé le docteur Adotévi.
Selon lui, le congrès sera précédé d’une conférence de presse prévue le 3 mars à 16 heures à l’hôtel Téranga.
Près de 300 participants venant de 15 pays sont attendus à ces rencontres qui se tiennent tous les deux ans.
A côté du thème central qui a été retenu, il y aura pour la partie scientifique du congrès, des conférences, des plénières sur des thèmes annexes et des thématiques sur les activités socioéconomiques de la femme.
En deuxième partie, il y aura des communications en atelier avec des spécialistes qui vont échanger leurs expériences.
Des visites de terrain sont également prévues en dernière partie pour évaluer le travail qui se fait, a fait savoir le docteur Félicien Adotévi.
Source : APS
Selon le co-président du congrès, qui se tiendra à l’hôtel Téranga, le thème de cette année veut ‘’rendre un hommage particulier à toutes les femmes violemment déchirées, victimes de tout un tas de violences pendant les guerres et à travers les faits sociaux tels que le viol, le harcèlement, etc.’’.
Au-delà de cet aspect, le congrès entend s’interroger sur la place de la femme au regard des mutations, sociales, culturelles et économiques auxquelles les sociétés font face.
‘’Nous allons aborder sous des angles multiples l’évolution du statut de la femme africaine à l’heure des mutations. Toute la question de l’être femme et du féminin qui vaut être posée dans l’exercice des professionnels du champ de la psychiatrie’’, a expliqué le psychiatre.
‘’Ces rencontres sont aussi un questionnement sur la femme d’hier et d’aujourd’hui, sur le rôle des psychiatres dans le combat pour l’émancipation de la femme’’, a-t-il aussi noté, ajoutant qu’elles permettront à ses collègues de s’interroger sur la part à prendre dans ce combat.
‘’Face à la femme, meurtrie, parfois marquée à jamais, est-ce que nous devons garder notre neutralité bienveillante ou devons nous prendre une part active dans ce combat ?’’, s’est interrogé le docteur Adotévi.
Selon lui, le congrès sera précédé d’une conférence de presse prévue le 3 mars à 16 heures à l’hôtel Téranga.
Près de 300 participants venant de 15 pays sont attendus à ces rencontres qui se tiennent tous les deux ans.
A côté du thème central qui a été retenu, il y aura pour la partie scientifique du congrès, des conférences, des plénières sur des thèmes annexes et des thématiques sur les activités socioéconomiques de la femme.
En deuxième partie, il y aura des communications en atelier avec des spécialistes qui vont échanger leurs expériences.
Des visites de terrain sont également prévues en dernière partie pour évaluer le travail qui se fait, a fait savoir le docteur Félicien Adotévi.
Source : APS