La ville de Touba reconnait une recrudescence des cas de paludisme, a soutenu, vendredi, le médecin-chef de la région médicale de Diourbel, Mamadou Dieng qui explique cette hausse par plusieurs facteurs dont les inondations.
’’’Le retour des fortes pluviométries et des autres déterminants expliquent les flambées de paludisme. Nous avons constaté qu’à Touba, le palu est revenu parce que les incidences se sont déroulées de même que la mortalité attribuable au paludisme a un peu progressé’’, a-t-il dit sur Aps.
M. Dieng s’exprimait au cours d’un Comité régional de développement consacré à la campagne de distribution de masse des moustiquaires imprégnée à longue durée d’action (CDM) financée par l’Etat du Sénégal et Plan international.
Selon lui, le taux de paludisme et le taux de mortalité lié ont doublé entre 2020 et 2021 à Touba où sur 1000 habitants, les 15 ont eu la maladie.
La ville de Touba se trouve dans la zone de contrôle du palu alors que Bambey est une zone de pré-élimination.
’’Dans la région, le fardeau de la morbidité est porté par Touba ensuite Diourbel’’, a déploré le médecin-chef.
Venue représenter le programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), Anta Diop Diallo a expliqué cette flambée par plusieurs déterminants relatifs aux données délivrées par les structures privées de santé, les facteurs environnementaux.
’’Il y a une augmentation au niveau de la région de Diourbel. Les districts de Diourbel et Touba portent le grand fardeau (...) Il y a plusieurs facteurs, environnementaux, les données délivrées par les structures privées, qui expliquent la hausse’’, a-t-elle dit.
Mme Diallo également point focal, chargée de faciliter les interactions entre le PNLP et la région de Diourbel, a rappelé la nécessité pour les populations de dormir sous la moustiquaire imprégnée toute l’année.
’’La région de Diourbel aura globalement un million cent mille quatre cent cinquante-cinq (1 100 455) MILDA qui seront réparties entre les quatre districts à savoir Bambey (220 081), Diourbel (197107), Mbacké (129 669) et Touba (553 598)’’, a indiqué Mme Diallo.
’’Nous avons fait de notre maximum pour tenir en compte de la spécificité de Touba. Mais avoir cent pour cent de satisfaction, c’est un peu difficile. L’objectif, c’est que chaque ménage qui a un coupon au moins bénéficiera de son milda’’, a répondu Anta Diop Diallo à ceux qui trouvent insuffisant le nombre de moustiquaires attribué à la ville de Touba.
’’’Le retour des fortes pluviométries et des autres déterminants expliquent les flambées de paludisme. Nous avons constaté qu’à Touba, le palu est revenu parce que les incidences se sont déroulées de même que la mortalité attribuable au paludisme a un peu progressé’’, a-t-il dit sur Aps.
M. Dieng s’exprimait au cours d’un Comité régional de développement consacré à la campagne de distribution de masse des moustiquaires imprégnée à longue durée d’action (CDM) financée par l’Etat du Sénégal et Plan international.
Selon lui, le taux de paludisme et le taux de mortalité lié ont doublé entre 2020 et 2021 à Touba où sur 1000 habitants, les 15 ont eu la maladie.
La ville de Touba se trouve dans la zone de contrôle du palu alors que Bambey est une zone de pré-élimination.
’’Dans la région, le fardeau de la morbidité est porté par Touba ensuite Diourbel’’, a déploré le médecin-chef.
Venue représenter le programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), Anta Diop Diallo a expliqué cette flambée par plusieurs déterminants relatifs aux données délivrées par les structures privées de santé, les facteurs environnementaux.
’’Il y a une augmentation au niveau de la région de Diourbel. Les districts de Diourbel et Touba portent le grand fardeau (...) Il y a plusieurs facteurs, environnementaux, les données délivrées par les structures privées, qui expliquent la hausse’’, a-t-elle dit.
Mme Diallo également point focal, chargée de faciliter les interactions entre le PNLP et la région de Diourbel, a rappelé la nécessité pour les populations de dormir sous la moustiquaire imprégnée toute l’année.
’’La région de Diourbel aura globalement un million cent mille quatre cent cinquante-cinq (1 100 455) MILDA qui seront réparties entre les quatre districts à savoir Bambey (220 081), Diourbel (197107), Mbacké (129 669) et Touba (553 598)’’, a indiqué Mme Diallo.
’’Nous avons fait de notre maximum pour tenir en compte de la spécificité de Touba. Mais avoir cent pour cent de satisfaction, c’est un peu difficile. L’objectif, c’est que chaque ménage qui a un coupon au moins bénéficiera de son milda’’, a répondu Anta Diop Diallo à ceux qui trouvent insuffisant le nombre de moustiquaires attribué à la ville de Touba.
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