L'agression de journalistes sur le théâtre des opérations a fait sortir les associations de défense des journalistes de leurs gonds. Dans cette liste de défenseurs des journalistes s'inscrit l'association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne (APPEL). L'APPEL a dénoncé et condamné le comportement des forces de défense et de sécurité envers les journalistes. "Les éditeurs de la presse en ligne condamnent fermement cette furie des forces de défense et de sécurités (FDS) sur les reporters. La brutalité et la récurrence de leurs agressions lors de la manifestation interdite de Aar Sunu Election nous font croire qu'elles ont, reçu un mot d'ordre dans ce sens", renseigne le communiqué de l'APPEL.
L'association dirigée par Ibrahima Lissa Faye, par ailleurs fondateur du group pressafrik, a apporté les précisions suivantes : "l'APPEL tient à faire savoir aux responsabilités des FDS et au gouvernement que nous avons toutes les images de ces différentes agressions. Nous comptons, à cet effet, les utiliser pour mener toute action utile au niveau national comme international avec les autres organisations soeurs de la coordination des associations de presse (CAP) ou des autres secteurs, mais aussi avec nos partenaires traditionnels. Egalement, elle se réserve le droit de saisir la justice pour que de tels actes ignobles contres les équipes des médias sur le terrain ne se produisent plus".
Plutôt dans son communique l'APPEL a tiré le bilan d'une journée mouvementée pour les journalistes. Ainsi a renseigné l'organisation de défense des journalistes : (...) "la journaliste de Seneweb, Absatou Hann, est traumatisée et est actuellement internée pour des soins. Un reporter de Dakar Buzz a été sévèrement blessé, tandis que les équipes de Leral ainsi que Pressafrik ont été agressés, copieusement insultées en direct".
Le summum de cette violence des FDS sur les journalistes fait savoir APPEL est "l'interpellation très musclée de Mor Amar, par ailleurs secrétaire général de la CJRS. Il a été poursuivi et roué de coups alors qu’il se déplaçait en groupe avec ses confrères sur le théâtre d’opérations".
L'association dirigée par Ibrahima Lissa Faye, par ailleurs fondateur du group pressafrik, a apporté les précisions suivantes : "l'APPEL tient à faire savoir aux responsabilités des FDS et au gouvernement que nous avons toutes les images de ces différentes agressions. Nous comptons, à cet effet, les utiliser pour mener toute action utile au niveau national comme international avec les autres organisations soeurs de la coordination des associations de presse (CAP) ou des autres secteurs, mais aussi avec nos partenaires traditionnels. Egalement, elle se réserve le droit de saisir la justice pour que de tels actes ignobles contres les équipes des médias sur le terrain ne se produisent plus".
Plutôt dans son communique l'APPEL a tiré le bilan d'une journée mouvementée pour les journalistes. Ainsi a renseigné l'organisation de défense des journalistes : (...) "la journaliste de Seneweb, Absatou Hann, est traumatisée et est actuellement internée pour des soins. Un reporter de Dakar Buzz a été sévèrement blessé, tandis que les équipes de Leral ainsi que Pressafrik ont été agressés, copieusement insultées en direct".
Le summum de cette violence des FDS sur les journalistes fait savoir APPEL est "l'interpellation très musclée de Mor Amar, par ailleurs secrétaire général de la CJRS. Il a été poursuivi et roué de coups alors qu’il se déplaçait en groupe avec ses confrères sur le théâtre d’opérations".
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