Oumar Gueye, ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, a fait face à la presse pour apporter des éclaircissements dans une affaire de corruption qui s’est déroulée au Cameroun et dans laquelle il a été citée.
En effet selon le ministre, le journal « Libération dans son Édition de ce 26 mars 2019 (n°4034), a tiré à sa ''Une'' « Oumar Guaye cité dans une sale affaire » et que « selon Jeune Afrique », il ferait partie des personnalités ayant reçu des fonds de l’intermédiaire Phillipe Bourcier, sous le coup d’un mandat d’arrêt international ».
Sur ce même registre, dit-il, un site d’information dans a publié ce mardi, un article intitulé « Cameroun : Oumar Gueye cité dans une affaire de corruption » a fait s’avoir que « le ministre de la pêche est mentionné dans une affaire de corruption concernant un contrat militaire de surveillance des côtes et de l’espace maritime camerounais passé le 18 Novembre 2010 entre le ministre de la Défense de l’époque, Edgard Alain Mebe Ngo’o et la société espagnole DEFEX SA ».
Des propos démenti par le ministre Oumar Gueye. « Je tiens à préciser d’emblée que ces informations sont mensongères, fausses et dénuées de tout fondement », a réagi le ministre de la pêche.
Tenant solennellement à faire les précisions, Oumar Gueye explique : « L’article de Libération citant Jeune Afrique, affirme de manière péremptoire à sa « Une », ma responsabilité dans cette affaire alors que dans les développements, il n’est aucunement fait mention de mon implication dans ce dossier et le journaliste reconnaît lui-même avoir « pu consulter l’acte d’accusation du juge étalée sur 90 pages ».
« Dans ma vie, je ne me suis jamais rendu au Cameroun »
Poursuivant sa réaction, Oumar Gueye précise qu'en aucun moment, dans l’exercice de ses fonctions ministérielles, il a eu à s’occuper de questions d’armement. Il précise qu' « il n’a jamais été dans sa vie au Cameroun, et ne connaît aucune autorité de ce pays encore moins la société espagnole incriminée dans cette affaire DEFEX et ses dirigeants ».
« Des citations directes envoyées à Jeune Afrique et Libération »
Toutefois, le ministre dit qu'il ne laissera pas cette affaire passer sans une réaction appropriée. Car pour lui, cela pourrait entacher sa dignité, son honneur et sa réputation. Il a envoyé des citations directes à ces différents journaux pour qu'ils lui rapportent la preuve « de leurs allégations mensongères et diffamatoires ».
En effet selon le ministre, le journal « Libération dans son Édition de ce 26 mars 2019 (n°4034), a tiré à sa ''Une'' « Oumar Guaye cité dans une sale affaire » et que « selon Jeune Afrique », il ferait partie des personnalités ayant reçu des fonds de l’intermédiaire Phillipe Bourcier, sous le coup d’un mandat d’arrêt international ».
Sur ce même registre, dit-il, un site d’information dans a publié ce mardi, un article intitulé « Cameroun : Oumar Gueye cité dans une affaire de corruption » a fait s’avoir que « le ministre de la pêche est mentionné dans une affaire de corruption concernant un contrat militaire de surveillance des côtes et de l’espace maritime camerounais passé le 18 Novembre 2010 entre le ministre de la Défense de l’époque, Edgard Alain Mebe Ngo’o et la société espagnole DEFEX SA ».
Des propos démenti par le ministre Oumar Gueye. « Je tiens à préciser d’emblée que ces informations sont mensongères, fausses et dénuées de tout fondement », a réagi le ministre de la pêche.
Tenant solennellement à faire les précisions, Oumar Gueye explique : « L’article de Libération citant Jeune Afrique, affirme de manière péremptoire à sa « Une », ma responsabilité dans cette affaire alors que dans les développements, il n’est aucunement fait mention de mon implication dans ce dossier et le journaliste reconnaît lui-même avoir « pu consulter l’acte d’accusation du juge étalée sur 90 pages ».
« Dans ma vie, je ne me suis jamais rendu au Cameroun »
Poursuivant sa réaction, Oumar Gueye précise qu'en aucun moment, dans l’exercice de ses fonctions ministérielles, il a eu à s’occuper de questions d’armement. Il précise qu' « il n’a jamais été dans sa vie au Cameroun, et ne connaît aucune autorité de ce pays encore moins la société espagnole incriminée dans cette affaire DEFEX et ses dirigeants ».
« Des citations directes envoyées à Jeune Afrique et Libération »
Toutefois, le ministre dit qu'il ne laissera pas cette affaire passer sans une réaction appropriée. Car pour lui, cela pourrait entacher sa dignité, son honneur et sa réputation. Il a envoyé des citations directes à ces différents journaux pour qu'ils lui rapportent la preuve « de leurs allégations mensongères et diffamatoires ».