De nouvelles zones d’ombre émergent sur l’implication de Dominique Strauss-Kahn dans des affaires financières en Afrique. Dans un reportage diffusé le 7 octobre 2021, l’émission « Cash Investigation » met en lumière un paiement suspect de 1,1 million d’euros (652 736 070 FCFA) provenant du Sénégal et destiné à l’ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI). Ce paiement, consigné dans le « Grand Livre des comptes », soulève des interrogations sur des pratiques douteuses impliquant Strauss-Kahn et plusieurs chefs d’État africains.
En 2014, Strauss-Kahn refait surface sur la scène internationale, cette fois en tant que conseiller chargé de négocier des allègements de dette pour plusieurs pays. Son lien avec le Sénégal se renforce lorsqu’il est reçu en 2017 par le président Macky Sall et le ministre des Finances, Amadou Ba, au Palais présidentiel. Ce rapprochement intrigue, d’autant plus que le reportage révèle qu’un crédit de 1,1 million d’euros (652 736 070 FCFA) accordé par le FMI au Sénégal en 2017 aurait été facturé par Strauss-Kahn pour un montant de 50 000 euros (32 636 803,50 FCFA).
Ce contrat remonte à une rencontre en 2016 entre Strauss-Kahn et Macky Sall au Congo, sur invitation du président Denis Sassou Nguesso. À cette occasion, l’ancien directeur du FMI aurait été choisi comme consultant par l’État sénégalais pour mobiliser des fonds à l’international.
Le documentaire de « Cash Investigation » revient également sur un épisode datant de 2007, peu après la nomination de Strauss-Kahn à la tête du FMI. L'institution aurait alors maquillé les chiffres de la dette congolaise, permettant au président Sassou Nguesso d’obtenir un allègement de 1,5 milliard d’euros. Un haut responsable congolais cité dans le reportage affirme que cette opération impliquait de fausses déclarations pour dissimuler une partie des dettes existantes.
Après son éviction du FMI en 2011, à la suite de scandales personnels, Dominique Strauss-Kahn s’est reconverti en consultant, multipliant les missions en Afrique à la demande de dirigeants désireux d’accéder à des financements internationaux. Installé en Tunisie après un passage au Maroc, il a également collaboré avec des personnalités controversées, telles que Thierry Leyne, un homme d’affaires franco-israélien. Ensemble, ils avaient fondé un fonds d’investissement (LSK), marqué par des échecs financiers et des drames personnels.
En 2014, Strauss-Kahn refait surface sur la scène internationale, cette fois en tant que conseiller chargé de négocier des allègements de dette pour plusieurs pays. Son lien avec le Sénégal se renforce lorsqu’il est reçu en 2017 par le président Macky Sall et le ministre des Finances, Amadou Ba, au Palais présidentiel. Ce rapprochement intrigue, d’autant plus que le reportage révèle qu’un crédit de 1,1 million d’euros (652 736 070 FCFA) accordé par le FMI au Sénégal en 2017 aurait été facturé par Strauss-Kahn pour un montant de 50 000 euros (32 636 803,50 FCFA).
Ce contrat remonte à une rencontre en 2016 entre Strauss-Kahn et Macky Sall au Congo, sur invitation du président Denis Sassou Nguesso. À cette occasion, l’ancien directeur du FMI aurait été choisi comme consultant par l’État sénégalais pour mobiliser des fonds à l’international.
Le documentaire de « Cash Investigation » revient également sur un épisode datant de 2007, peu après la nomination de Strauss-Kahn à la tête du FMI. L'institution aurait alors maquillé les chiffres de la dette congolaise, permettant au président Sassou Nguesso d’obtenir un allègement de 1,5 milliard d’euros. Un haut responsable congolais cité dans le reportage affirme que cette opération impliquait de fausses déclarations pour dissimuler une partie des dettes existantes.
Après son éviction du FMI en 2011, à la suite de scandales personnels, Dominique Strauss-Kahn s’est reconverti en consultant, multipliant les missions en Afrique à la demande de dirigeants désireux d’accéder à des financements internationaux. Installé en Tunisie après un passage au Maroc, il a également collaboré avec des personnalités controversées, telles que Thierry Leyne, un homme d’affaires franco-israélien. Ensemble, ils avaient fondé un fonds d’investissement (LSK), marqué par des échecs financiers et des drames personnels.