Il est temps qu’on le dit haut et fort. Les Touaregs et leurs alliés veulent ériger un Etat blanc au Nord Mali après un impitoyable nettoyage ethnique. Les Maliens eux-mêmes semblent peureux de mettre à jour cette dimension de la crise du Nord et la communauté internationale jouent à l’autruche. Barack Obama, l’homme qui voulait faire du Mali un exemple en nous imposant tout de suite un embargo mortel après le Coup du 22 mars, a lui-même préfère ignorer cette dimension, aveuglé qu’il est par sa volonté farouche d’imposer un nouvel ordre mondial. Si ce type fait deux mandats nous sommes foutus !
Mais revenons à nos moutons. En l’occurrence nos soldats capturés, suppliciés et mis à mort dans des conditions atroces, humiliantes et dégradantes (devant la ‘’Communauté Internationale qui a fermé les yeux avec les mains’’). Aguel-hoc (24 janvier 2012) a été célébré. Mais à partir du 17 janvier, et avec la complicité des plus hautes autorités, les Touareg et alliés ont capturé beaucoup de soldats. Et s’amusaient à les faire souffrir par des méthodes variées et recherchées. Les éléments vainqueurs avant la lettre rivalisaient d’ingéniosité pour faire souffrir le maximum de tortures, d’humiliation et de douleur en allongeant aux maximums le supplice des prisonniers.
Parfois, on creusait soigneusement le sable pour y enterrer le supplicié en position debout, jusqu’au cou. Sous le soleil et le vent de sable qui remplient yeux, narines et bouche, le supplicié, a vite soif. Il fallait attendre jusqu’au dernier moment pour lui donner un peu d’eau. Avec le soleil qui chauffe de plus en plus et la terre qui serre encore d’avantage les petits artères du supplicié commence à péter. Il fait donc de plus en plus d’hémorragie, son cœur se fatigue, son cerveau perd le contrôle et il émet des sons incompréhensibles la mort est lente, très lente et elle prend tout son temps au grand bonheur des tortionnaires et leur peuple.
Une autre recette consistait à creuser du sable pour y allumer un gros feu. Après, on fait sortir les braises. Mais attachées dans le dos, le supplicié avec les jambes enterrées (nus) dans le trou qu’on remplit de sable. Les parties enterrés ne sont pas vraiment cuites et le supplicié n’en meurt pas de suite. Il lui faudra des jours de souffrance atroces avant de rendre l’âme. D’autant plus que durant le séjour de ses jambes dans le sable brulant, on lui frappe méthodiquement le sommet du crâne avec un bâton qui ne le fracasse pas.
Il y a aussi la pendaison les pieds en haut. On maintien cette position jusqu’à ce qu’un maximum de sang afflue vers la tête. Comme pour les autres l’estomac du supplicié se rétrécit par la fin et sa gorge toujours sur le point d’éclater de sécheresse. Mais nous avons affaire à des scientifiques de la mort lente qui apportent quelques gorgées d’eau pour retarder à chaque fois la tragique échéance. Le sang qui afflue à la tête fait injecter le sang des yeux du supplicié.
Très peu de soldats capturés par les différents groupes Touareg qui veulent ériger un Etat blanc au Nord Mali ont échappé à ce camp de nazi en miniature. Mais il arrive toujours que quelque soit la fermeture de la porte de toute chance de sortie d’une tragédie, quelques miraculés arrivent à se sortir du piège.
C’est le cas dans la situation décrite ici. Alors si jamais vous rencontrez un lambeau d’homme avec les yeux éjectés de sang, demandez-lui s’il était soldat, prisonnier de Touareg et ex-torturé par eux. En cas de réponse affirmative, vous devez savoir qui a subit la pendaison la tête en bas.
Le moment venu, d’autres histoires de tortures seront explicitées par ceux la même qui l’on subi. Enfin, peut-être.
source: Maliweb.net
Mais revenons à nos moutons. En l’occurrence nos soldats capturés, suppliciés et mis à mort dans des conditions atroces, humiliantes et dégradantes (devant la ‘’Communauté Internationale qui a fermé les yeux avec les mains’’). Aguel-hoc (24 janvier 2012) a été célébré. Mais à partir du 17 janvier, et avec la complicité des plus hautes autorités, les Touareg et alliés ont capturé beaucoup de soldats. Et s’amusaient à les faire souffrir par des méthodes variées et recherchées. Les éléments vainqueurs avant la lettre rivalisaient d’ingéniosité pour faire souffrir le maximum de tortures, d’humiliation et de douleur en allongeant aux maximums le supplice des prisonniers.
Parfois, on creusait soigneusement le sable pour y enterrer le supplicié en position debout, jusqu’au cou. Sous le soleil et le vent de sable qui remplient yeux, narines et bouche, le supplicié, a vite soif. Il fallait attendre jusqu’au dernier moment pour lui donner un peu d’eau. Avec le soleil qui chauffe de plus en plus et la terre qui serre encore d’avantage les petits artères du supplicié commence à péter. Il fait donc de plus en plus d’hémorragie, son cœur se fatigue, son cerveau perd le contrôle et il émet des sons incompréhensibles la mort est lente, très lente et elle prend tout son temps au grand bonheur des tortionnaires et leur peuple.
Une autre recette consistait à creuser du sable pour y allumer un gros feu. Après, on fait sortir les braises. Mais attachées dans le dos, le supplicié avec les jambes enterrées (nus) dans le trou qu’on remplit de sable. Les parties enterrés ne sont pas vraiment cuites et le supplicié n’en meurt pas de suite. Il lui faudra des jours de souffrance atroces avant de rendre l’âme. D’autant plus que durant le séjour de ses jambes dans le sable brulant, on lui frappe méthodiquement le sommet du crâne avec un bâton qui ne le fracasse pas.
Il y a aussi la pendaison les pieds en haut. On maintien cette position jusqu’à ce qu’un maximum de sang afflue vers la tête. Comme pour les autres l’estomac du supplicié se rétrécit par la fin et sa gorge toujours sur le point d’éclater de sécheresse. Mais nous avons affaire à des scientifiques de la mort lente qui apportent quelques gorgées d’eau pour retarder à chaque fois la tragique échéance. Le sang qui afflue à la tête fait injecter le sang des yeux du supplicié.
Très peu de soldats capturés par les différents groupes Touareg qui veulent ériger un Etat blanc au Nord Mali ont échappé à ce camp de nazi en miniature. Mais il arrive toujours que quelque soit la fermeture de la porte de toute chance de sortie d’une tragédie, quelques miraculés arrivent à se sortir du piège.
C’est le cas dans la situation décrite ici. Alors si jamais vous rencontrez un lambeau d’homme avec les yeux éjectés de sang, demandez-lui s’il était soldat, prisonnier de Touareg et ex-torturé par eux. En cas de réponse affirmative, vous devez savoir qui a subit la pendaison la tête en bas.
Le moment venu, d’autres histoires de tortures seront explicitées par ceux la même qui l’on subi. Enfin, peut-être.
source: Maliweb.net