En effet, à Pikine comme à Guédiawaye, le constat est le même. L'affluence n'est pas encore au rendez-vous.
Les Sénégalais semblent "bouder" les urnes.
A Guédiawaye, ceux réputés êtres "chauds", du fait de leur nombres importants de bureaux restent aérés. Toute la différence lors de la présidentielle. A par les militants des différentes listes, personne d'autre n'a daigné faire le déplacement. Et la plupart des personnes, sont des femmes, accompagnées soit de leur mari ou d'un enfant. Même cas de figure au centre Ndiaka Diagne, 2cole 25 (Khaly madiakhaté kala), où d'habitude, la présence des limiers fortement armés se faisait remarquer comme ce fut le cas lors de la présidentielle.
« On espère que les gens vont venir voter en masse, car il est important pour eux de désigner leurs représentant au niveau de l'hémicycle », indique un président de centre sous le sceau de l'anonymat. Vers 10 heures voire 11 heures les citoyens dans la banlieue ne pressaient toujours pas le pas. D'aucuns prétextèrent le fait que « ce soit dimanche et préfèrent attendre l'après-midi ».
A en croire l'investie sur la liste du Pds, Khady Dièye, les gens sont découragés. « Ils préfèrent surement se pencher sur la dépense quotidienne que de venir accomplir leur devoir de citoyens », ironise-t-elle.
A Pikine, ce ne fut pas le grand rush. Ousmane Tanor Dieng avait-il raison de pousser les responsables à sensibiliser les uns et les autres sur le sens du vote des législatives? Pour certains, le vote des militaires et paramilitaires était le signal fort. A djiddah Thiaroye kao, Diamagueuene sicap mbao, presque dans beaucoup de centres, la devanture des bureaux est vide. Et de plus en plus, le taux d'abstention se confirme. Les jeunes en des moments préfèrent jouer au football avec les matchs du dimanche.
Abdoul K. Diop (correspondant dans la banlieue)
Les Sénégalais semblent "bouder" les urnes.
A Guédiawaye, ceux réputés êtres "chauds", du fait de leur nombres importants de bureaux restent aérés. Toute la différence lors de la présidentielle. A par les militants des différentes listes, personne d'autre n'a daigné faire le déplacement. Et la plupart des personnes, sont des femmes, accompagnées soit de leur mari ou d'un enfant. Même cas de figure au centre Ndiaka Diagne, 2cole 25 (Khaly madiakhaté kala), où d'habitude, la présence des limiers fortement armés se faisait remarquer comme ce fut le cas lors de la présidentielle.
« On espère que les gens vont venir voter en masse, car il est important pour eux de désigner leurs représentant au niveau de l'hémicycle », indique un président de centre sous le sceau de l'anonymat. Vers 10 heures voire 11 heures les citoyens dans la banlieue ne pressaient toujours pas le pas. D'aucuns prétextèrent le fait que « ce soit dimanche et préfèrent attendre l'après-midi ».
A en croire l'investie sur la liste du Pds, Khady Dièye, les gens sont découragés. « Ils préfèrent surement se pencher sur la dépense quotidienne que de venir accomplir leur devoir de citoyens », ironise-t-elle.
A Pikine, ce ne fut pas le grand rush. Ousmane Tanor Dieng avait-il raison de pousser les responsables à sensibiliser les uns et les autres sur le sens du vote des législatives? Pour certains, le vote des militaires et paramilitaires était le signal fort. A djiddah Thiaroye kao, Diamagueuene sicap mbao, presque dans beaucoup de centres, la devanture des bureaux est vide. Et de plus en plus, le taux d'abstention se confirme. Les jeunes en des moments préfèrent jouer au football avec les matchs du dimanche.
Abdoul K. Diop (correspondant dans la banlieue)