Le Premier ministre Amadou Ba a invité le secteur financier de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), à contribuer au financement des politiques d’adaptation au changement climatique, avec le soutien de projets respectueux de l’environnement.
Selon Amadou Ba, « le secteur financier de l’UEMOA […] doit jouer un rôle notable dans les politiques d’adaptation au changement climatique ». De plus ajoute le Premier ministre, Amadou Ba, le secteur financier de la zone monétaire de mener des actions capables de « contribuer davantage aux initiatives publiques mises en œuvre par les États dans la mise en œuvre de leurs engagements internationaux en matière de climat ».
Ainsi, Amadou Ba dit attendre des institutions financières de l’UEMOA « des actions concrètes » pouvant « favoriser les investissements dans les projets respectueux de l’environnement telles que les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, qui contribuent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre ».
Ces institutions doivent se mobiliser parce que « les engagements pris par la plupart des partenaires extérieurs ne sont pas concrétisé », a souligné le Premier ministre.
D’après Amadou Ba, « les partenaires financiers de l’Afrique ont pris des engagements financiers portant sur 100 milliards de dollars US par an pour soutenir les politiques gouvernementales de transition écologique ».
Selon Amadou Ba, « le secteur financier de l’UEMOA […] doit jouer un rôle notable dans les politiques d’adaptation au changement climatique ». De plus ajoute le Premier ministre, Amadou Ba, le secteur financier de la zone monétaire de mener des actions capables de « contribuer davantage aux initiatives publiques mises en œuvre par les États dans la mise en œuvre de leurs engagements internationaux en matière de climat ».
Ainsi, Amadou Ba dit attendre des institutions financières de l’UEMOA « des actions concrètes » pouvant « favoriser les investissements dans les projets respectueux de l’environnement telles que les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, qui contribuent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre ».
Ces institutions doivent se mobiliser parce que « les engagements pris par la plupart des partenaires extérieurs ne sont pas concrétisé », a souligné le Premier ministre.
D’après Amadou Ba, « les partenaires financiers de l’Afrique ont pris des engagements financiers portant sur 100 milliards de dollars US par an pour soutenir les politiques gouvernementales de transition écologique ».