Le SYNPICS travaille à l’élaboration d’un nouveau code de la presse. Si ce texte entre en vigueur, ‘’l’accès à la carte nationale de presse sera bien verrouillé par des critères se référant à la formation et au professionnalisme’’, a affirmé Diatou Cissé lors d’une rencontre avec le personnel de l’APS.
‘’La carte de presse a beaucoup perdu de son prestige. […] Elle est galvaudée par la prolifération des cartes de presse maison. Il faut que la carte nationale de presse soit sécurisée’’, a-t-elle ajouté.
Cette carte, a-t-elle indiqué, sera ‘’le seul document valable pour attester du statut de journaliste’’, a-t-elle insisté.
Le nouveau code de la presse retient aussi deux modalités d’accès à la profession de journaliste. La première consiste à se faire former dans une école de journalisme reconnue par l’Etat avec, au minimum, le baccalauréat comme diplôme d’accès.
La seconde consiste à se faire former pendant trois ans dans une rédaction à laquelle on accède après une licence (mathématiques, géographie, droit, lettres, etc.) pour ensuite passer devant ’’une commission de validation des acquis’’, pour prétendre à la qualité de journaliste.
‘’L’offre de formation n’est pas adéquate dans certaines écoles’’, a relevé Diatou Cissé, soulignant que le SYNPICS travaille à ‘’uniformiser les standards de formation, quelle que soit l’école’’.
Le ministère de l’Enseignement supérieur, des Universités et des Centres universitaires Régionaux (CUR) et de la Recherche scientifique participe à la mise en oeuvre de cette réforme, aux côtés du ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Source APS
‘’La carte de presse a beaucoup perdu de son prestige. […] Elle est galvaudée par la prolifération des cartes de presse maison. Il faut que la carte nationale de presse soit sécurisée’’, a-t-elle ajouté.
Cette carte, a-t-elle indiqué, sera ‘’le seul document valable pour attester du statut de journaliste’’, a-t-elle insisté.
Le nouveau code de la presse retient aussi deux modalités d’accès à la profession de journaliste. La première consiste à se faire former dans une école de journalisme reconnue par l’Etat avec, au minimum, le baccalauréat comme diplôme d’accès.
La seconde consiste à se faire former pendant trois ans dans une rédaction à laquelle on accède après une licence (mathématiques, géographie, droit, lettres, etc.) pour ensuite passer devant ’’une commission de validation des acquis’’, pour prétendre à la qualité de journaliste.
‘’L’offre de formation n’est pas adéquate dans certaines écoles’’, a relevé Diatou Cissé, soulignant que le SYNPICS travaille à ‘’uniformiser les standards de formation, quelle que soit l’école’’.
Le ministère de l’Enseignement supérieur, des Universités et des Centres universitaires Régionaux (CUR) et de la Recherche scientifique participe à la mise en oeuvre de cette réforme, aux côtés du ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Source APS