«Il n’y aura pas d’élection au Sénégal sans notre candidat Karim Wade »; (Pds)
«Aujourd’hui, la loi permet à Khalifa Ababacar Sall de se présenter à l’élection présidentielle du 24 février 2019. Nous disons aux juges du Conseil constitutionnel de prendre toutes leurs responsabilités afin de ne pas laisser leur décision porter atteinte à la stabilité du pays »; (Moussa Taye, conseiller politique Khalifa Sall).
« Il faut s’attendre à ce que le Conseil constitutionnel invalide une autre candidature parmi les 5 provisoirement retenues »; (Ousmane Sonko)
« On ne laissera personne, je dis bien personne, plonger ce pays dans une instabilité. Force restera à la loi ». (Macky Sall, président de la République).
Quatre déclarations de quatre leaders incontestés du schéma politique sénégalais actuel, suspendus au bon vouloir de 7 juges qui vont afficher la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle, ce dimanche à 23 heures.
Personne ne peut prédire ce qui suivra la publication de cette fameuse liste. Surtout si Karim Wade et Khalifa Sall sont définitivement disqualifiés. Les libéraux sont catégoriques. Ils ne conçoivent pas une élection présidentielle sans leur candidat. Quant aux Khalifistes, ils ont déjà annoncé la couleur après l’invalidation provisoire de l’ex-marie de Dakar le 13 janvier dernier. Les riverains de Sacré Cœur 3 et de la VDN ont eu un avant-goût de ce dont étaient capables les partisans de Khalifa Sall.
Me Wade a annoncé son retour et mis en en garde son successeur à la magistrature suprême. « Ce sera mon dernier combat. Tenez-vous prêts », a-t-il confié à de hauts responsables du Pds.
La Nation, son peuple, ont fini de sentir la forte et pesante tension qui monte. Si le film vire au drame, ils seront les plus affectés. La fameuse phrase d’Edgar Morin épouse plus que jamais le contexte actuel : « les nuits sont enceintes et nul ne connaît le jour qui naîtra ».
«Aujourd’hui, la loi permet à Khalifa Ababacar Sall de se présenter à l’élection présidentielle du 24 février 2019. Nous disons aux juges du Conseil constitutionnel de prendre toutes leurs responsabilités afin de ne pas laisser leur décision porter atteinte à la stabilité du pays »; (Moussa Taye, conseiller politique Khalifa Sall).
« Il faut s’attendre à ce que le Conseil constitutionnel invalide une autre candidature parmi les 5 provisoirement retenues »; (Ousmane Sonko)
« On ne laissera personne, je dis bien personne, plonger ce pays dans une instabilité. Force restera à la loi ». (Macky Sall, président de la République).
Quatre déclarations de quatre leaders incontestés du schéma politique sénégalais actuel, suspendus au bon vouloir de 7 juges qui vont afficher la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle, ce dimanche à 23 heures.
Personne ne peut prédire ce qui suivra la publication de cette fameuse liste. Surtout si Karim Wade et Khalifa Sall sont définitivement disqualifiés. Les libéraux sont catégoriques. Ils ne conçoivent pas une élection présidentielle sans leur candidat. Quant aux Khalifistes, ils ont déjà annoncé la couleur après l’invalidation provisoire de l’ex-marie de Dakar le 13 janvier dernier. Les riverains de Sacré Cœur 3 et de la VDN ont eu un avant-goût de ce dont étaient capables les partisans de Khalifa Sall.
Me Wade a annoncé son retour et mis en en garde son successeur à la magistrature suprême. « Ce sera mon dernier combat. Tenez-vous prêts », a-t-il confié à de hauts responsables du Pds.
La Nation, son peuple, ont fini de sentir la forte et pesante tension qui monte. Si le film vire au drame, ils seront les plus affectés. La fameuse phrase d’Edgar Morin épouse plus que jamais le contexte actuel : « les nuits sont enceintes et nul ne connaît le jour qui naîtra ».
Autres articles
-
15e Législature : voici la liste complète des députés élus
-
Le Président Diomaye Faye ambitionne de faire du Sénégal un modèle en matière de gestion de l'eau et d’assainissement
-
Plainte contre Arcop : la Cour suprême déboute l'Aser
-
Assemblée nationale : Aliou Ndao promet un "nouveau type de Parlement" au peuple
-
"Le pool judiciaire financier, trop limité pour réussir", (Aliou Ndao, ancien procureur)