Le Front pour une révolution anti-impérialiste, populaire et panafricaine (FRAPP) accompagné de 49 collectifs et associations, ont décidé de mettre fin aux ‘’résistances solitaires’’. Ils ont décidé ce jeudi, de lancer ‘’un front multi-lutte’’, à travers une fédération des opprimés, des travailleurs, des dépossédés de leurs terres, des oubliés des zones marginalisées et tous les Sénégalais laissés pour compte et de toutes celles et ceux que ‘’ce système écrase’’.
« Pendant 7 ans pour certains, 12 ans pour d’autres, plus de 25 ans pour certains, nous avons résisté, nous avons lutté contre les oppresseurs, les prédateurs et les injustices, avec nos camarades et nos combattants, dont le Frapp qui se battent contre les licences abusives, l'évasion sociale et l'exploitation. Ces prédateurs exploitent nos terres, tuent des familles et privatisent nos espaces, tandis que les élites économiques et politiques trompent le peuple. Malgré les menaces, les violations et les injustices. Aujourd’hui, nous ne serions, plus jamais, seuls dans ce combat », a déclaré Al Assane Anne, porte parole des différents collectifs.
Comprenant que l’isolement les affaiblit, il soutient qu’un combat sans alliance est un combat condamné à l’épuisement. C'est pourquoi, le collectif a décidé de mettre fin aux résistances solitaires. « Ce que nous ne gagnerons pas ensemble, nous le perdrons séparément », a-t-il dit.
Par ailleurs, M. Anne a annoncé le lancement d’un ‘’front multi-lutte’’, une fédération des opprimés, des travailleurs, des dépossédés de leurs terres, des oubliés des zones marginalisées.
Selon le porte-parole du jour, l’injustice organisée, le vol institutionnalisé, l’exploitation légalisée, sont autant de tort qu’il faut redresser. « Nous n’attendrons plus qu’il daigne reconnaître nos droits. Nous imposerons la justice sociale. Nous prendrons ce qui nous revient par la force, par la puissance de notre union », a-t-il martelé.
Prenant la parole, le député Guy Marius Sagna a, pour sa part, évoqué leur détermination à lutter contre les oppresseurs, les prédateurs et les injustices, contre les licences abusives, l'évasion sociale et l'exploitation.
« Cette conférence de presse a été déclenchée par une réunion avec 52 organisations, syndicats, collectifs et associations, qui ont discuté des défis auxquels ces collectifs sont confrontés et ont décidé de s'engager dans la lutte. Si nous avons un Président et un Premier ministre qui appellent au Jub Jubal Jubanti, cela ne peut que nous réconforter. Nous demanderons une audience avec le ministre du Travail, on discutera des problèmes et des difficultés, et rencontrera également le ministre de l'Urbanisme, des Collectivités territoriales et le ministre de la Santé et de l'Environnement pour aborder et exposer les problèmes des différents collectifs qui sont présents ici ».
Pa ailleurs, le coordinateur du FRAPP pointe du doigt le gouvernement sortant qu’il taxe de complice avec les voleurs de terres, un gouvernement qui était selon lui, « complice des patrons d’entreprise ».
Par contre, il s'est réjoui du nouveau gouvernement qui, pour lui, appelle à la réparation, à la justice. « Nous nous sommes tombés d’accord avec toute démarche du gouvernement qui entre dans le sens de résoudre nos problèmes. Nous irons jusqu’au bout. Le gouvernement a dit la réduction des comptes. La solution, c’est de ramener l’argent du pays. C’est pourquoi nous encourageons le gouvernement dans cette logique », a laissé entendre le député.
« Pendant 7 ans pour certains, 12 ans pour d’autres, plus de 25 ans pour certains, nous avons résisté, nous avons lutté contre les oppresseurs, les prédateurs et les injustices, avec nos camarades et nos combattants, dont le Frapp qui se battent contre les licences abusives, l'évasion sociale et l'exploitation. Ces prédateurs exploitent nos terres, tuent des familles et privatisent nos espaces, tandis que les élites économiques et politiques trompent le peuple. Malgré les menaces, les violations et les injustices. Aujourd’hui, nous ne serions, plus jamais, seuls dans ce combat », a déclaré Al Assane Anne, porte parole des différents collectifs.
Comprenant que l’isolement les affaiblit, il soutient qu’un combat sans alliance est un combat condamné à l’épuisement. C'est pourquoi, le collectif a décidé de mettre fin aux résistances solitaires. « Ce que nous ne gagnerons pas ensemble, nous le perdrons séparément », a-t-il dit.
Par ailleurs, M. Anne a annoncé le lancement d’un ‘’front multi-lutte’’, une fédération des opprimés, des travailleurs, des dépossédés de leurs terres, des oubliés des zones marginalisées.
Selon le porte-parole du jour, l’injustice organisée, le vol institutionnalisé, l’exploitation légalisée, sont autant de tort qu’il faut redresser. « Nous n’attendrons plus qu’il daigne reconnaître nos droits. Nous imposerons la justice sociale. Nous prendrons ce qui nous revient par la force, par la puissance de notre union », a-t-il martelé.
Prenant la parole, le député Guy Marius Sagna a, pour sa part, évoqué leur détermination à lutter contre les oppresseurs, les prédateurs et les injustices, contre les licences abusives, l'évasion sociale et l'exploitation.
« Cette conférence de presse a été déclenchée par une réunion avec 52 organisations, syndicats, collectifs et associations, qui ont discuté des défis auxquels ces collectifs sont confrontés et ont décidé de s'engager dans la lutte. Si nous avons un Président et un Premier ministre qui appellent au Jub Jubal Jubanti, cela ne peut que nous réconforter. Nous demanderons une audience avec le ministre du Travail, on discutera des problèmes et des difficultés, et rencontrera également le ministre de l'Urbanisme, des Collectivités territoriales et le ministre de la Santé et de l'Environnement pour aborder et exposer les problèmes des différents collectifs qui sont présents ici ».
Pa ailleurs, le coordinateur du FRAPP pointe du doigt le gouvernement sortant qu’il taxe de complice avec les voleurs de terres, un gouvernement qui était selon lui, « complice des patrons d’entreprise ».
Par contre, il s'est réjoui du nouveau gouvernement qui, pour lui, appelle à la réparation, à la justice. « Nous nous sommes tombés d’accord avec toute démarche du gouvernement qui entre dans le sens de résoudre nos problèmes. Nous irons jusqu’au bout. Le gouvernement a dit la réduction des comptes. La solution, c’est de ramener l’argent du pays. C’est pourquoi nous encourageons le gouvernement dans cette logique », a laissé entendre le député.
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