Entre juin et septembre 2024, le Sénégal a produit 8,17 millions de barils de pétrole dans le cadre du projet Sangomar. Durant cette phase de démarrage, la production mensuelle a progressivement augmenté avec l’ouverture séquencée des puits producteurs (11 actifs sur 12), atteignant un plateau d’environ 3 millions de barils par mois en août et septembre, selon les services de Birame Soulèye Diop, ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines.
La compagnie australienne Woodside, opératrice du champ offshore de Sangomar, avait annoncé la première extraction de pétrole le 11 juin 2024. Depuis, l’extraction de l’or noir se poursuit sur le champ de Sangomar, situé au large du Sénégal et constituant le premier projet pétrolier offshore du pays.
Quatre mois plus tard, le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines a publié des statistiques relatives à cette phase initiale de production.
Ces données révèlent que « cette production a permis 8 cargaisons, représentant un volume total de 7,69 millions de barils de pétrole brut, exportés et commercialisés sur le marché international à partir du FPSO Léopold Sédar Senghor ».
Le ministère ajoute que « les prévisions de production pour l’année 2024 demeurent inchangées, avec un objectif de maintenir un plateau de 100 000 barils par jour durant le quatrième trimestre ».
Grâce à cette production, le Sénégal entre de plain-pied dans le cercle des pays africains exportateurs de pétrole.
Pour le marché national, des axes de partenariat ont été envisagés entre Woodside et la Société Africaine de Raffinage (SAR). Dans ce cadre, une délégation de Woodside Sénégal, composée du vice-président Clive Jones et du directeur de Woodside Sénégal Cheikh Guèye, a été reçue par la Direction générale de la raffinerie de Mbao.
La SAR a, dans le cadre de son projet de modernisation, adapté ses installations pour traiter le brut de Sangomar et renforcer ses capacités de stockage, faisant passer la capacité de raffinage de 1,2 million à 1,5 million de tonnes par an, selon les responsables.
Pour rappel, dans cette première phase de mise en œuvre du projet Sangomar, Woodside est en joint-venture avec la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN), avec une participation respective de 82 % et 18 %.
La compagnie australienne Woodside, opératrice du champ offshore de Sangomar, avait annoncé la première extraction de pétrole le 11 juin 2024. Depuis, l’extraction de l’or noir se poursuit sur le champ de Sangomar, situé au large du Sénégal et constituant le premier projet pétrolier offshore du pays.
Quatre mois plus tard, le ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines a publié des statistiques relatives à cette phase initiale de production.
Ces données révèlent que « cette production a permis 8 cargaisons, représentant un volume total de 7,69 millions de barils de pétrole brut, exportés et commercialisés sur le marché international à partir du FPSO Léopold Sédar Senghor ».
Le ministère ajoute que « les prévisions de production pour l’année 2024 demeurent inchangées, avec un objectif de maintenir un plateau de 100 000 barils par jour durant le quatrième trimestre ».
Grâce à cette production, le Sénégal entre de plain-pied dans le cercle des pays africains exportateurs de pétrole.
Pour le marché national, des axes de partenariat ont été envisagés entre Woodside et la Société Africaine de Raffinage (SAR). Dans ce cadre, une délégation de Woodside Sénégal, composée du vice-président Clive Jones et du directeur de Woodside Sénégal Cheikh Guèye, a été reçue par la Direction générale de la raffinerie de Mbao.
La SAR a, dans le cadre de son projet de modernisation, adapté ses installations pour traiter le brut de Sangomar et renforcer ses capacités de stockage, faisant passer la capacité de raffinage de 1,2 million à 1,5 million de tonnes par an, selon les responsables.
Pour rappel, dans cette première phase de mise en œuvre du projet Sangomar, Woodside est en joint-venture avec la Société des Pétroles du Sénégal (PETROSEN), avec une participation respective de 82 % et 18 %.