Le secrétaire général de la LD/MPT, Abdoulaye Bathily lors du congrès de son parti
Le sixième congrès de la Ligue Démocratique/Mouvement pour le Parti et pour le Travail (LD/MPT) va, certainement, marquer les annales de la vie politique du Sénégal. En effet, toutes les forces des partis de l’opposition qui ont pris part à ces assises ont manifesté leur engagement à s’unir afin de faire partir le président Abdoulaye Wade et son régime du pouvoir.
Devant des milliers de militants parés des couleurs de la LDMPT (rose), la jeunesse «patriotique» incarnée par Talla Sylla, Cheikh Bamba Dièye en compagnie des chefs de partis en l’occurrence Moustapha Niasse de l’Alliance des Forces de Progrès (Afp), Amath Dansokho du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), Ousmane Tanor Dieng du Parti socialiste (PS) ont procédé à une véritable diatribe de la gestion du pays par la le PDS.
Passée au crible, cette analyse de la situation du Sénégal dénonce à la fois la «répression permanente des libertés, l’instrumentalisation des institutions, la régression des valeurs morales, les tentatives de succession monarchique».
A ce chapelet de «failles, limites et d'errements» du gouvernement, le leader des Jallarbistes d’y ajouter «une crise structurelle de leadership». Abdoulaye Bathily de souligner qu’un «tel diagnostic montre que le mal est profond et qu’il est qu’il est temps de redresser le Sénégal».
Convaincu de cette assertion d’Albert Camus «il y a de la honte à être heureux tout seul», l’unité proclamée par tous les leaders politiques de la coalition And Siggil Sénégal, la société civile et les mouvements syndicaux s’avère, selon lui, la seule alternative pour restaurer la dignité de la société sénégalaise. La tache ne sera pas facile avertit -t-il, car à travers cette unité il faudra s’oublier, dépasser les sensibilités politiques et instaurer un dialogue avec le peuple.
En guise d’entrée en matière, Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng ont tenu à démentir les rumeurs soutenant qu’ils sont en mauvais terme. Au-delà du Sénégal, le secrétaire général de la LDMPT a invité ses camarades représentants des partis frère à créer d’une part, une vaste chaîne des organisations progressistes pour échanger des expériences et engager la lutte solidaire pour l’Afrique indépendante et unie.
D’autre part, il les a aussi appelés à s’engager dans la trajectoire de la rédemption du continent africain. L’absence de leadership a donné naissance à de nouveaux mécanismes d’alliances dites « privilégiées » entre l’Afrique et les grands blocs géostratégiques. «Le pays est entrain d’être dépecé au profit des intérêts étrangers comme les colonies», a dénoncé Abdoulaye Bathily.
Devant des milliers de militants parés des couleurs de la LDMPT (rose), la jeunesse «patriotique» incarnée par Talla Sylla, Cheikh Bamba Dièye en compagnie des chefs de partis en l’occurrence Moustapha Niasse de l’Alliance des Forces de Progrès (Afp), Amath Dansokho du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), Ousmane Tanor Dieng du Parti socialiste (PS) ont procédé à une véritable diatribe de la gestion du pays par la le PDS.
Passée au crible, cette analyse de la situation du Sénégal dénonce à la fois la «répression permanente des libertés, l’instrumentalisation des institutions, la régression des valeurs morales, les tentatives de succession monarchique».
A ce chapelet de «failles, limites et d'errements» du gouvernement, le leader des Jallarbistes d’y ajouter «une crise structurelle de leadership». Abdoulaye Bathily de souligner qu’un «tel diagnostic montre que le mal est profond et qu’il est qu’il est temps de redresser le Sénégal».
Convaincu de cette assertion d’Albert Camus «il y a de la honte à être heureux tout seul», l’unité proclamée par tous les leaders politiques de la coalition And Siggil Sénégal, la société civile et les mouvements syndicaux s’avère, selon lui, la seule alternative pour restaurer la dignité de la société sénégalaise. La tache ne sera pas facile avertit -t-il, car à travers cette unité il faudra s’oublier, dépasser les sensibilités politiques et instaurer un dialogue avec le peuple.
En guise d’entrée en matière, Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng ont tenu à démentir les rumeurs soutenant qu’ils sont en mauvais terme. Au-delà du Sénégal, le secrétaire général de la LDMPT a invité ses camarades représentants des partis frère à créer d’une part, une vaste chaîne des organisations progressistes pour échanger des expériences et engager la lutte solidaire pour l’Afrique indépendante et unie.
D’autre part, il les a aussi appelés à s’engager dans la trajectoire de la rédemption du continent africain. L’absence de leadership a donné naissance à de nouveaux mécanismes d’alliances dites « privilégiées » entre l’Afrique et les grands blocs géostratégiques. «Le pays est entrain d’être dépecé au profit des intérêts étrangers comme les colonies», a dénoncé Abdoulaye Bathily.