Diatou Cissé SG SYNPICS (Photo:sunugalsene.com)
Les journalistes sont à la recherche d’une meilleure approche dans le traitement de l’image et dans la couverture des sujets relatifs aux violences faites aux femmes. En effet, le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS) en collaboration avec l’ambassade des Etats-Unis au Sénégal organise un atelier de renforcement des capacités de trois jours sur «le droit à l’image et la couverture médiatique des violences faites aux femmes».
Le ministre de la communication, Moustapha Guirassy, qui a pris part à la cérémonie d’ouverture, ce lundi 18 mai, a insisté sur le sujet de l’image et celui qui la reçoit qui, selon lui, sont agressés par la manipulation de l’image. Il a soutenu : «lorsqu’on pose la question du droit à l’image on se réfère sur le sujet de l’image, mais au-delà, il ya celui qui reçoit l’image qui sont terriblement agressés». Le ministre a, dans la même foulée, évoqué les valeurs, les croyances et les cultures que le journaliste doit tenir en compte lorsqu’il publie une image.
L’ambassadrice des Etats-Unis au Sénégal, Marcia Bernicat, a indiqué qu’une presse libre joue un rôle essentiel dans la création d’une société civile forte et d’une démocratie saine, (…), donne une voix à ceux qui sont marginalisés et persécutés dans la société. C’est dans ce cadre qu’elle a souligné que ce rôle implique la responsabilité liée au traitement des informations et des images.
«De la même façon que les diplomates communiquent avec les gouvernements pour promouvoir une compréhension réciproque, les journalistes doivent soigneusement choisir leurs mots et les images pour illustrer un sujet, afin de minimiser tout affront ou préjudice non intentionnels à la victime, tout en renforçant au maximum le message journalistique qui est transmis» a-t-elle déclaré.
La secrétaire générale du Synpics, Diatou Cissé, quant à elle, a entre autres, dénoncé la stigmatisation et les jugements de valeurs souvent faits par les journalistes dans leurs reportages.
Le séminaire est organisé à Dakar à l’intention des journalistes, des reporters, des photographes et des cameramen. Au sortir de cette rencontre, le syndicat des journalistes va rédiger une brochure qui sera utilisée et publiée comme code d’éthique dans les salles de rédaction.
Le ministre de la communication, Moustapha Guirassy, qui a pris part à la cérémonie d’ouverture, ce lundi 18 mai, a insisté sur le sujet de l’image et celui qui la reçoit qui, selon lui, sont agressés par la manipulation de l’image. Il a soutenu : «lorsqu’on pose la question du droit à l’image on se réfère sur le sujet de l’image, mais au-delà, il ya celui qui reçoit l’image qui sont terriblement agressés». Le ministre a, dans la même foulée, évoqué les valeurs, les croyances et les cultures que le journaliste doit tenir en compte lorsqu’il publie une image.
L’ambassadrice des Etats-Unis au Sénégal, Marcia Bernicat, a indiqué qu’une presse libre joue un rôle essentiel dans la création d’une société civile forte et d’une démocratie saine, (…), donne une voix à ceux qui sont marginalisés et persécutés dans la société. C’est dans ce cadre qu’elle a souligné que ce rôle implique la responsabilité liée au traitement des informations et des images.
«De la même façon que les diplomates communiquent avec les gouvernements pour promouvoir une compréhension réciproque, les journalistes doivent soigneusement choisir leurs mots et les images pour illustrer un sujet, afin de minimiser tout affront ou préjudice non intentionnels à la victime, tout en renforçant au maximum le message journalistique qui est transmis» a-t-elle déclaré.
La secrétaire générale du Synpics, Diatou Cissé, quant à elle, a entre autres, dénoncé la stigmatisation et les jugements de valeurs souvent faits par les journalistes dans leurs reportages.
Le séminaire est organisé à Dakar à l’intention des journalistes, des reporters, des photographes et des cameramen. Au sortir de cette rencontre, le syndicat des journalistes va rédiger une brochure qui sera utilisée et publiée comme code d’éthique dans les salles de rédaction.
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