Ces deux journées en huis clos ont permis aux différentes parties prenantes des assises nationales de restituer la synthèse des travaux issus des consultations citoyennes et des commissions thématiques. Elles ont aussi été l'occasion de définir la cohérence du rapport en délibérant sur les orientations stratégiques et de proposer un tableau de bord de l’après assisses nationales. Selon les acteurs, des synthèses sur des thématiques transversales ont abouti au bilan des politiques publiques et du vivre en commun de 1960 à maintenant. Ainsi les participants ont conçu des scénarii d’évolution du Sénégal à l’horizon 2025.
Ensuite, pour veiller à la mise en oeuvre des conclusions, les acteurs ont présenté «une matrice d’opérationnalisation». Pour se faire, ils se sont réunis selon les différentes familles d’acteurs (commissions thématiques) pour étudier les différents scénarii possibles en vue de l'application des assises nationales. S’expliquant sur le mode opératoire, le porte parole du jour Dialo Diop a estimé que tout dépend de la volonté des sénégalais face à celle du pouvoir. «Si les conclusions des assises reflètent les aspirations d’une majorité des sénégalais, la volonté politique de leur application sera largement partagée et il est bien évident qu’on ne peut pas arrêter la mer avec ses bras. On ne peut pas s’opposer à la volonté des peuples indéfiniment» a indiqué le porte parole par ailleurs secrétaire général du Rassemblement National démocratique (RND).
L’application des conclusions des assises nationales a toujours été la grande question des sénégalais. Le parti au pouvoir a exprimé très tôt son désaccord face à ces assises que certains de ses partisans considèrent comme un complot des partis de l’opposition qui ont perdu l’élection présidentielle et boycotté les élections législatives.
Se prononçant sur le renchérissement de la vie et les difficultés auxquelles sont confrontés les sénégalais, le porte parole a précisé que «d’après l’analyse des assises, c’est une mauvaise gouvernance qui est à l’origine de toutes ces pénuries et de toutes ces crises, une mauvaise gouvernance qui n’est pas que sénégalaise».
Ainsi, selon Dialo Diop, après consensus global sur l’analyse rétrospective et prospective les acteurs vont procéder à la rédaction finale du rapport. Lorsque tout cela aura été validé par les parties prenantes, les conclusions seront soumises à l’attention du peuple sénégalais. Toutefois, il a reconnu que les assisses ont enregistré des retards. «C’est dû à un manque de moyen parce qu’on a pas accepté de financement extérieur» a fait savoir le secrétaire général du RND.
Ensuite, pour veiller à la mise en oeuvre des conclusions, les acteurs ont présenté «une matrice d’opérationnalisation». Pour se faire, ils se sont réunis selon les différentes familles d’acteurs (commissions thématiques) pour étudier les différents scénarii possibles en vue de l'application des assises nationales. S’expliquant sur le mode opératoire, le porte parole du jour Dialo Diop a estimé que tout dépend de la volonté des sénégalais face à celle du pouvoir. «Si les conclusions des assises reflètent les aspirations d’une majorité des sénégalais, la volonté politique de leur application sera largement partagée et il est bien évident qu’on ne peut pas arrêter la mer avec ses bras. On ne peut pas s’opposer à la volonté des peuples indéfiniment» a indiqué le porte parole par ailleurs secrétaire général du Rassemblement National démocratique (RND).
L’application des conclusions des assises nationales a toujours été la grande question des sénégalais. Le parti au pouvoir a exprimé très tôt son désaccord face à ces assises que certains de ses partisans considèrent comme un complot des partis de l’opposition qui ont perdu l’élection présidentielle et boycotté les élections législatives.
Se prononçant sur le renchérissement de la vie et les difficultés auxquelles sont confrontés les sénégalais, le porte parole a précisé que «d’après l’analyse des assises, c’est une mauvaise gouvernance qui est à l’origine de toutes ces pénuries et de toutes ces crises, une mauvaise gouvernance qui n’est pas que sénégalaise».
Ainsi, selon Dialo Diop, après consensus global sur l’analyse rétrospective et prospective les acteurs vont procéder à la rédaction finale du rapport. Lorsque tout cela aura été validé par les parties prenantes, les conclusions seront soumises à l’attention du peuple sénégalais. Toutefois, il a reconnu que les assisses ont enregistré des retards. «C’est dû à un manque de moyen parce qu’on a pas accepté de financement extérieur» a fait savoir le secrétaire général du RND.