Le théâtre sénégalais a perdu son prestige des années 80. Dans ce cadre, un groupe d’émigré sénégalais vivant en Italie, a émis l’idée de relancer le septième art sénégalais. Sous la houlette de Rougui Gaye, la présidente de Baobab Médiart a senti la nécessité d’unir ses forces avec l’Arcots afin de faire revivre les bons moments du théâtre sénégalais en organisant un festival les 11 et 12 décembre prochain. En conférence de presse ce mardi 08 décembre 2009 à la maison de la culture Douta Seck, les organisateurs dudit festival ont déroulé leur programme. Ainsi il y aura des projections d’extraits de téléfilms, de rencontres d’échanges et d’une remise de trophées symbolique. Les initiateurs du festival ont prévu une distinction qui sera décernée au parrain d’honneur et père fondateur du théâtre audiovisuel et télévisuel, El hadji Abdoulaye Seck. La présidente du festival a fait savoir que «cette première édition du festival va permettre de faciliter l’exportation vers le marché italien». Et d’ajouter: «cela pourra diminuer la piraterie qui n’épargne aucun secteur».
Par ailleurs, le secrétaire général de l’Arcots Moustapha Diop a fait comprendre que «ce festival est un challenge car il y a des défis à relever pour faire valoir nos produits et les améliorer».
Moustapha Diop a, par contre, déploré la fermeture des salles de cinéma qui ont été transformé en souk.
Il faut noter que la présidente ne compte pas s’arrêter seulement à ce festival. Elle compte aussi s’investir dans d’autres projets pour sortir les artistes de l’ornière.
Par ailleurs, le secrétaire général de l’Arcots Moustapha Diop a fait comprendre que «ce festival est un challenge car il y a des défis à relever pour faire valoir nos produits et les améliorer».
Moustapha Diop a, par contre, déploré la fermeture des salles de cinéma qui ont été transformé en souk.
Il faut noter que la présidente ne compte pas s’arrêter seulement à ce festival. Elle compte aussi s’investir dans d’autres projets pour sortir les artistes de l’ornière.