Mariam Coulibaly Ndiaye, représentante de l’Unicef au Sénégal
Dans son programme de promotion des droits de l’enfant, l’Unicef a repéré quatorze indicateurs qui constituent les problèmes prioritaires. Il y a, ente autres, le taux de pauvreté élevé des enfants, le taux de mortalité élevé infanto juvénile, l’accès à l’eau potable, le travail des enfants. La représentante de l’Unicef au Sénégal Mariam Coulibaly Ndiaye a toutefois souligné que «la crise économique augmente la mendicité des enfants. Mais sur le plan institutionnel et juridique, le Sénégal est bien doté».
Cependant, il ya une ambigüité qui entrave l’application de la loi a noté un des responsables. «Il y a une loi qui interdit la mendicité des enfants alors qu’elle l’autorise pour les vendredis» a-t-il indiqué. C’est dans ce cadre que la représentante de l’Unicef au Sénégal a appelé «à la synergie des actions pour la mise en œuvre des lois pour la promotion et la défense des droits de l’enfant».
Selon une enquête faite en 2007 «la moyenne d’âge des enfants mendiants se situe autour de 11 ans, lors de l’enquête le plus jeune avait 2 ans et près de la moitié n’avait pas 10 ans». Ainsi pour mieux assister les enfants, du 24 au 25 mars prochain l’Unicef va procéder à la publication d’un rapport sur le système d’allocation sociale.
Cependant, il ya une ambigüité qui entrave l’application de la loi a noté un des responsables. «Il y a une loi qui interdit la mendicité des enfants alors qu’elle l’autorise pour les vendredis» a-t-il indiqué. C’est dans ce cadre que la représentante de l’Unicef au Sénégal a appelé «à la synergie des actions pour la mise en œuvre des lois pour la promotion et la défense des droits de l’enfant».
Selon une enquête faite en 2007 «la moyenne d’âge des enfants mendiants se situe autour de 11 ans, lors de l’enquête le plus jeune avait 2 ans et près de la moitié n’avait pas 10 ans». Ainsi pour mieux assister les enfants, du 24 au 25 mars prochain l’Unicef va procéder à la publication d’un rapport sur le système d’allocation sociale.