Hawa Dia Thiam l'un des leader de Yoonu Anska wi
Yoonu Askan Wi n’est plus à la phase de réflexion. A trois mois des élections locales il a affiché sa ferme intention à « battre l’Etat- Parti en place et ses alliés, et en même temps faire échec à son plan de dévolution monarchique et dynastique du pouvoir » peut-on lire dans le communiqué parvenu ce lundi à pressafrik.com. Cette décision n’a pas été prise à la hâte. Selon le DPN toutes les forces politiques, citoyennes, démocratiques et sociales parties prenantes de l’initiative pour la constitution d’un nouveau pôle républicain alternatif ont été consultées. Le premier congrès ordinaire de ce parti composé, entre autres, des frustrés de AJ/Pads va se tenir entre Mai et Décembre 2009.
Madièye MBODJ et ses camarades ne sont pas indifférents à l’atmosphère qui règne à Kédougou depuis la marche du mardi 23 décembre. Au cours de leur rencontre, ils ont condamné « la répression aveugle et brutale » de la marche des jeunes et des populations de Kédougou tout en soutenant sans réserve leurs « légitimes » revendications. Dans ce même cadre le parti a exigé du gouvernement du Sénégal une cessation de « ses manœuvres de désinformation ou de manipulation de l’opinion ». Il l’invite également à prendre « des sanctions exemplaires contre les tortionnaires et les meurtriers, à libérer immédiatement tous les manifestants arrêtés ».
Dans leur communiqué, les anciens follistes ont dénoncé le soutien du chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade aux militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée. Ils ont estimé que « c’est une attitude récurrente devenue suspecte ». Une attitude qui selon eux consiste à « soutenir les auteurs de coups d’Etat dans les pays frontaliers du Sénégal (Mauritanie, Guinée), comme s’il (Abdoulaye Wade) incitait les militaires à cette forme de prise du pouvoir". Toutefois, Yoonu Askan Wi a exprimé sa solidarité avec le peuple et les forces démocratiques de Guinée en lutte pour un régime véritablement républicain.
Madièye MBODJ et ses camarades ne sont pas indifférents à l’atmosphère qui règne à Kédougou depuis la marche du mardi 23 décembre. Au cours de leur rencontre, ils ont condamné « la répression aveugle et brutale » de la marche des jeunes et des populations de Kédougou tout en soutenant sans réserve leurs « légitimes » revendications. Dans ce même cadre le parti a exigé du gouvernement du Sénégal une cessation de « ses manœuvres de désinformation ou de manipulation de l’opinion ». Il l’invite également à prendre « des sanctions exemplaires contre les tortionnaires et les meurtriers, à libérer immédiatement tous les manifestants arrêtés ».
Dans leur communiqué, les anciens follistes ont dénoncé le soutien du chef de l’Etat Me Abdoulaye Wade aux militaires qui ont pris le pouvoir en Guinée. Ils ont estimé que « c’est une attitude récurrente devenue suspecte ». Une attitude qui selon eux consiste à « soutenir les auteurs de coups d’Etat dans les pays frontaliers du Sénégal (Mauritanie, Guinée), comme s’il (Abdoulaye Wade) incitait les militaires à cette forme de prise du pouvoir". Toutefois, Yoonu Askan Wi a exprimé sa solidarité avec le peuple et les forces démocratiques de Guinée en lutte pour un régime véritablement républicain.