Au centre Aldo Gentina le calme régnait en maître vers les environ de 15heures. Les superviseurs des bureaux de vote en ont profité pour faire une pause déjeuner. Le président du bureau de vote par acte de responsabilité a fait sortir tout le monde pour fermer la porte derrière lui. Ainsi, des plats de riz sont distribués dans chaque bureau de vote. Le président du bureau de vote numéro 2 estime que «tout se passe normalement, on a démarré le vote à 8h 05munites. Et tout se déroule parfaitement. » Nous dit Adama Gueye. Le taux de participation reste minime partout. Monsieur Gueye de nous signaler « sur les 510 électeurs inscrits, seuls environ 100 personnes ont voté alors qu’on est à moins de deux heures de la fermeture des bureaux de votes qui est estimé à 18heures»a soutenu Adama Gueye.
Même son de cloche pour le bureau numéro1 du centre Aldo Gentina de Ngor. La présidente d’indiquer qu « ’ils ont accusés 25 minutes de retards sur le démarrage du scrutin du au retard de certains membres. La porte était fermée à clé. Hormis ce petit retard tous se passe bien dans le déroulement.» a expliqué Khady Mbengue.
« Le constat qui est fait c’est qu’il n’y a pas de rush au niveau de la population de Ngor peut être qu’elle attend l’après midi vers 17 heure ». A fait savoir la présidente du bureau de vote Khady Mbengue.
Au centre de vote de l’école Alieu Samb qui compte 4 bureaux de vote, les queux dans les différents bureaux de vote ne dépassent pas 20 personnes lors de notre passage. Dans les bureaux de vote, les électeurs effectuaient leur devoir de citoyens dans une sérénité totale.
Le président du bureau numéro. Les femmes qui se sont chargées de la distribution des repas à notre arrivée sur les lieux. Et le président d’en profiter pour fermer le bureau de vote et s’affairer au déjeuner. Abdoulaye Mbaye soutient que «tout va bien, on a démarré à l’heure et on espère que vers les 18 heures les premiers décomptes pourront se faire sans difficultés.»
Au dernier centre de vote de la localité c'est-à-dire, l’école Baitir Samb de Ngor, la tendance est plus ou moins contraire au deux derniers centres visités. L’affluence est dans son cadre normal des jours de vote. Sur les 8 bureaux de vote qui constitue le centre, les femmes sont les plus visibles dans les rangs. Selon cette femme «les femmes sont maintenant conscientes des enjeux des élections dans le pays. Elles ne veulent plus rester les béni oui oui des hommes » nous dit cette dame, la trentaine qui préfère garder l’anonymat.
Même son de cloche pour le bureau numéro1 du centre Aldo Gentina de Ngor. La présidente d’indiquer qu « ’ils ont accusés 25 minutes de retards sur le démarrage du scrutin du au retard de certains membres. La porte était fermée à clé. Hormis ce petit retard tous se passe bien dans le déroulement.» a expliqué Khady Mbengue.
« Le constat qui est fait c’est qu’il n’y a pas de rush au niveau de la population de Ngor peut être qu’elle attend l’après midi vers 17 heure ». A fait savoir la présidente du bureau de vote Khady Mbengue.
Au centre de vote de l’école Alieu Samb qui compte 4 bureaux de vote, les queux dans les différents bureaux de vote ne dépassent pas 20 personnes lors de notre passage. Dans les bureaux de vote, les électeurs effectuaient leur devoir de citoyens dans une sérénité totale.
Le président du bureau numéro. Les femmes qui se sont chargées de la distribution des repas à notre arrivée sur les lieux. Et le président d’en profiter pour fermer le bureau de vote et s’affairer au déjeuner. Abdoulaye Mbaye soutient que «tout va bien, on a démarré à l’heure et on espère que vers les 18 heures les premiers décomptes pourront se faire sans difficultés.»
Au dernier centre de vote de la localité c'est-à-dire, l’école Baitir Samb de Ngor, la tendance est plus ou moins contraire au deux derniers centres visités. L’affluence est dans son cadre normal des jours de vote. Sur les 8 bureaux de vote qui constitue le centre, les femmes sont les plus visibles dans les rangs. Selon cette femme «les femmes sont maintenant conscientes des enjeux des élections dans le pays. Elles ne veulent plus rester les béni oui oui des hommes » nous dit cette dame, la trentaine qui préfère garder l’anonymat.