Les accords de défense entre le Sénégal et la France n’ont pas évolué depuis 1960. Le Commandement des Forces Françaises au Sénégal (COMFOR), le Général Olivier Paulus a précisé que «ces accords de 1960 répondaient à une donne géopolitique très différente de celle d’aujourd’hui». Selon lui, «maintenant les armées sénégalaises n’ont plus besoin de l’armée Française. Elles sont matures parce qu’elles ont quarante voire cinquante ans de parcours. L’armée sénégalaise est l’une des armées les plus impliquées dans les opérations de maintien de la paix. Quand un bataillon militaire sénégalais revient du Darfour, il acquiert une expérience militaire tout à fait exceptionnelle. La donne a complètement évoluée».
Le chef du COMFOR a, par ailleurs révélé : «nous avons huit accords de défense en Afrique de l’Ouest. Actuellement le premier qui est soumis en discussion, c’est celui du Togo. On attend une décision et après tous les autres pays vont recevoir le projet d’accords de défense rénové».
Le général Olivier Paulus a expliqué par rapport à la force africaine en entente que c’est une force totalement africaine qui est dans un processus de mise en place d’une architecture de paix et de sécurité en Afrique. «C’est une priorité pour la France et donc pour l’armée française et c’est pour cela que nous sommes très impliqués dans l’action sous régionale. La France considère que c’est un point clé de l’avenir du continent africain», a-t-il indiqué. Le général français a poursuivi que «Cette action d’appui, d’accompagnement vise la montée en puissance de la force africaine en attente. Nous avons besoin de force en Afrique. Donc cela devient un paramètre important».
Le Commandement des Forces Françaises au Sénégal (COMFOR) a initié cette rencontre avec la presse pour huiler les rapports avec les médias mais aussi rendre compte de leurs activités au Sénégal.
C’est ainsi que le Général, Olivier Paulus a présenté les Forces Françaises du Cap Vert (FFCV) et leurs différentes activités. En effet, les FFCV interviennent dans plusieurs domaines tels que les inondations, les incendies etc. et selon le Général, cette capacité de soutien, d’aide qu’ils appellent «Capacité de soutien au service public» est disponible et permanent. Pour mieux préparer les grands rendez vous, ils organisent, dans le cadre de la coopération bilatérale des ateliers, des exercices avec l’armée sénégalaise, mais aussi des actions de coopération militaire (quarante actions sur une année avec une dizaine de pays).
Avec la coopération civilo-militaire, les FFCV ont, de son avis, des effectifs qui portent secours à la population sénégalaise dans les constructions d’écoles, d’infrastructures et dans des projets. Sur ce domaine le Général Paulus de déclarer «nous sommes très sollicités par les associations sénégalaises mais on veille à l’équilibre. On met au même pied toutes les régions».
La mission principale de l’armée française en Afrique a tenu à souligner que : «partout où il y a des intérêts français, il y a possibilité de défendre ces intérêts que cela soit des intérêts à caractères économiques, entrepreneurials ou des intérêts de sécurisation de nos ressortissants. Si jamais les ressortissants étaient sous menace, l’Etat français pourrait décider de porter assistance à ses ressortissants et c’est tout l’intérêt du pré positionnement de l’armée française en Afrique».
Le chef du COMFOR a, par ailleurs révélé : «nous avons huit accords de défense en Afrique de l’Ouest. Actuellement le premier qui est soumis en discussion, c’est celui du Togo. On attend une décision et après tous les autres pays vont recevoir le projet d’accords de défense rénové».
Le général Olivier Paulus a expliqué par rapport à la force africaine en entente que c’est une force totalement africaine qui est dans un processus de mise en place d’une architecture de paix et de sécurité en Afrique. «C’est une priorité pour la France et donc pour l’armée française et c’est pour cela que nous sommes très impliqués dans l’action sous régionale. La France considère que c’est un point clé de l’avenir du continent africain», a-t-il indiqué. Le général français a poursuivi que «Cette action d’appui, d’accompagnement vise la montée en puissance de la force africaine en attente. Nous avons besoin de force en Afrique. Donc cela devient un paramètre important».
Le Commandement des Forces Françaises au Sénégal (COMFOR) a initié cette rencontre avec la presse pour huiler les rapports avec les médias mais aussi rendre compte de leurs activités au Sénégal.
C’est ainsi que le Général, Olivier Paulus a présenté les Forces Françaises du Cap Vert (FFCV) et leurs différentes activités. En effet, les FFCV interviennent dans plusieurs domaines tels que les inondations, les incendies etc. et selon le Général, cette capacité de soutien, d’aide qu’ils appellent «Capacité de soutien au service public» est disponible et permanent. Pour mieux préparer les grands rendez vous, ils organisent, dans le cadre de la coopération bilatérale des ateliers, des exercices avec l’armée sénégalaise, mais aussi des actions de coopération militaire (quarante actions sur une année avec une dizaine de pays).
Avec la coopération civilo-militaire, les FFCV ont, de son avis, des effectifs qui portent secours à la population sénégalaise dans les constructions d’écoles, d’infrastructures et dans des projets. Sur ce domaine le Général Paulus de déclarer «nous sommes très sollicités par les associations sénégalaises mais on veille à l’équilibre. On met au même pied toutes les régions».
La mission principale de l’armée française en Afrique a tenu à souligner que : «partout où il y a des intérêts français, il y a possibilité de défendre ces intérêts que cela soit des intérêts à caractères économiques, entrepreneurials ou des intérêts de sécurisation de nos ressortissants. Si jamais les ressortissants étaient sous menace, l’Etat français pourrait décider de porter assistance à ses ressortissants et c’est tout l’intérêt du pré positionnement de l’armée française en Afrique».