‘’Dans le cadre de cette marche, ils (les manifestants) ont créé un certain nombre de problèmes à un point tel qu’ils ont bousculé et piétiné une personne qui en est décédée’’, a déclaré Abdou Aziz Sow. ‘’Deux à trois morts, c’est faux’’, a-t-il dit lors d’un point de presse.
‘’C’est un mort qui n’a rien à voir dans ces manifestations’’, a-t-il ajouté, avant de couvrir les forces de sécurité de toute bavure dans l’usage du feu. ‘’Le décès ne provient pas d’un tir de l’armée’’, a dit M. Sow.
Des évacuations sanitaires sont signalées à l’hôpital régional de Tambacounda en provenance de Kédougou. Mais M. Sow ne les a pas confirmées ni précisé le nombre de blessés ou leur état.
‘’On ne peut pas vous dire quelle est la situation des blessés, nous attendons demain pour avoir de plus amples informations’’, a-t-il répondu aux journalistes.
Il a rappelé que ce matin des manifestants se sont également attaqués au centre de santé de Kédougou, prétextant vouloir récupérer le corps de la victime.
Le ministre de l’Information n’a pas non plus donné le nombre de manifestants interpellés, annonçant l’ouverture d’une enquête. Interrogés sur le meneurs, M. Sow a dit : ‘’Nous les avons identifiés, nous menons des investigations’’.
‘’Il ne s’agit pas d’une simple manifestation d’étudiants’’, selon lui. ‘’La situation dépasse une simple manifestation d’étudiants. C’est tout autre’’, a-t-il noté sans donner de piste d’accusation.
Des étudiants ressortissants de Kédougou protestaient contre les défaillances dans la prise de leurs conditions de vie à Dakar, telle qu’elle était prévue dans le cadre du volet social introduit par le fonds minier dont ils bénéficient. D’autres revendications sont liées à la gestion du foncier.
Selon le ministre, les manifestants ont mis à sac la gouvernance et à la gendarmerie, détruit des édifices publics tels la prison et le camp militaire. Ils ont aussi mis le feu sur des véhicules appartenant à l’administration publique, ainsi qu’ils s’en sont pris à des familles de représentants de l’Etat.
Il a toutefois indiqué que la situation est ‘’sous contrôle’’. ‘’Nous avons fait un dernier pointage : la ville est sous contrôle et calme’’. ‘’L’électricité est en train d’être rétablie, les éléments de l’armée et la gendarmerie ont pris position et assuré la sérénité des populations.’’
Le porte-parole du gouvernement a appelé ’’au calme et à la sérénité’’ les populations de la commune de Kédougou et de villages environnants qui ont rallié les protestataires, ainsi qu’il a souligné l’engagement à sécuriser la ville.
‘’C’est un mort qui n’a rien à voir dans ces manifestations’’, a-t-il ajouté, avant de couvrir les forces de sécurité de toute bavure dans l’usage du feu. ‘’Le décès ne provient pas d’un tir de l’armée’’, a dit M. Sow.
Des évacuations sanitaires sont signalées à l’hôpital régional de Tambacounda en provenance de Kédougou. Mais M. Sow ne les a pas confirmées ni précisé le nombre de blessés ou leur état.
‘’On ne peut pas vous dire quelle est la situation des blessés, nous attendons demain pour avoir de plus amples informations’’, a-t-il répondu aux journalistes.
Il a rappelé que ce matin des manifestants se sont également attaqués au centre de santé de Kédougou, prétextant vouloir récupérer le corps de la victime.
Le ministre de l’Information n’a pas non plus donné le nombre de manifestants interpellés, annonçant l’ouverture d’une enquête. Interrogés sur le meneurs, M. Sow a dit : ‘’Nous les avons identifiés, nous menons des investigations’’.
‘’Il ne s’agit pas d’une simple manifestation d’étudiants’’, selon lui. ‘’La situation dépasse une simple manifestation d’étudiants. C’est tout autre’’, a-t-il noté sans donner de piste d’accusation.
Des étudiants ressortissants de Kédougou protestaient contre les défaillances dans la prise de leurs conditions de vie à Dakar, telle qu’elle était prévue dans le cadre du volet social introduit par le fonds minier dont ils bénéficient. D’autres revendications sont liées à la gestion du foncier.
Selon le ministre, les manifestants ont mis à sac la gouvernance et à la gendarmerie, détruit des édifices publics tels la prison et le camp militaire. Ils ont aussi mis le feu sur des véhicules appartenant à l’administration publique, ainsi qu’ils s’en sont pris à des familles de représentants de l’Etat.
Il a toutefois indiqué que la situation est ‘’sous contrôle’’. ‘’Nous avons fait un dernier pointage : la ville est sous contrôle et calme’’. ‘’L’électricité est en train d’être rétablie, les éléments de l’armée et la gendarmerie ont pris position et assuré la sérénité des populations.’’
Le porte-parole du gouvernement a appelé ’’au calme et à la sérénité’’ les populations de la commune de Kédougou et de villages environnants qui ont rallié les protestataires, ainsi qu’il a souligné l’engagement à sécuriser la ville.
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