Mamadou SG CSA à l'occasion du décès de Sémou Pathé Guèye
La fête du travail risque d’avoir une note particulière cette année. La Confédération des Syndicats Autonomes du Sénégal (CSA) menace de passer à la vitesse supérieure le 1er mai si l’Etat ne respecte pas ses engagements. Pour un large suivi de son plan d’actions, le secrétaire général, Mamadou Diouf exhorte ses camarades syndicalistes à se mobiliser pour que «le 1er mai prochain soit une rupture avec la routine».
Selon le secrétaire général de la CSA «tous les secteurs sont en ébullition l’Education, la Santé, l’Agriculture, le Transport aérien et ferroviaire (…) et il n’y a pas de dialogue». Accusant l’Etat d’être à l’origine de cette situation, il a soutenu : «cette absence de dialogue est porteuse de germes de confrontations dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage où, depuis des années des ingénieurs et techniciens peinent à rencontrer leur ministre de tutelle en vue de faire avancer leurs revendications professionnelles».
Cette situation a conduit, selon Mamadou Diouf et ses camarades, à «une instabilité chronique d’un système éducatif désarticulé et moribond, à une politique de santé en agonie, à l’image de structures comme Abass Ndao, le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) ou d’autres structures». Et le secrétaire général de la Csa d’indiquer : «c’est cette même logique d’ostracisme qui semble habiter le chef de l’Etat lorsqu’il refuse de recevoir la CSA et se sent obligé d’arrêter les rencontres promises avec les centrales syndicales».
Selon le secrétaire général de la CSA «tous les secteurs sont en ébullition l’Education, la Santé, l’Agriculture, le Transport aérien et ferroviaire (…) et il n’y a pas de dialogue». Accusant l’Etat d’être à l’origine de cette situation, il a soutenu : «cette absence de dialogue est porteuse de germes de confrontations dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage où, depuis des années des ingénieurs et techniciens peinent à rencontrer leur ministre de tutelle en vue de faire avancer leurs revendications professionnelles».
Cette situation a conduit, selon Mamadou Diouf et ses camarades, à «une instabilité chronique d’un système éducatif désarticulé et moribond, à une politique de santé en agonie, à l’image de structures comme Abass Ndao, le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) ou d’autres structures». Et le secrétaire général de la Csa d’indiquer : «c’est cette même logique d’ostracisme qui semble habiter le chef de l’Etat lorsqu’il refuse de recevoir la CSA et se sent obligé d’arrêter les rencontres promises avec les centrales syndicales».