Le ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome dément toute forme de présence de nervis lors des manifestations entre forces de l'ordre et militants pro-Sonko, alors que l’image de bandes armées a fait le tour du web. Selon lui, « les forces de défense et de sécurité ont la particularité, tout corps confondu de comporter en leur fin des femmes et des hommes valeureux qui s’habillent en tenue et aussi à leur coté pour des raisons évidentes de recherches de l’efficacité en tenue civile », a expliqué le ministre dans un entretien accordé à la RFM.
Poursuivant, Antoine Diome a précisé que ce que l’Etat connait, « c'est les forces de défense de sécurité, mais certainement pas de nervis. » Face à l’instance du journaliste Babacar Fall, le ministre persiste et signe dans son argumentaire. « C’est ce que je viens de vous dire, moi je ne connais pas de nervis. Je connais des forces de défense et de sécurité. Et elles s’habillent aussi en tenue militaire et policière qu’en tenue civile. »
Mercredi, des photos et vidéos de nervis armés ont été publiées sur les réseaux sociaux lors des manifestations entre pro-Sonko et les forces de sécurité. Ces nervis étaient encadrés par des hommes de tenue, en train de battre les manifestants avec des gourdins. Ce qui a suscité des interrogations sur leur lien avec la police et la gendarmerie.
Poursuivant, Antoine Diome a précisé que ce que l’Etat connait, « c'est les forces de défense de sécurité, mais certainement pas de nervis. » Face à l’instance du journaliste Babacar Fall, le ministre persiste et signe dans son argumentaire. « C’est ce que je viens de vous dire, moi je ne connais pas de nervis. Je connais des forces de défense et de sécurité. Et elles s’habillent aussi en tenue militaire et policière qu’en tenue civile. »
Mercredi, des photos et vidéos de nervis armés ont été publiées sur les réseaux sociaux lors des manifestations entre pro-Sonko et les forces de sécurité. Ces nervis étaient encadrés par des hommes de tenue, en train de battre les manifestants avec des gourdins. Ce qui a suscité des interrogations sur leur lien avec la police et la gendarmerie.