Le président de l'APR, Macky Sall
Le président de l’Alliance pour la République (APR), Macky Sall disqualifie le Parlement (Assemblée nationale et Sénat) pour sa consultation sur la création du poste de vice président. «Ce n’est pas une question que l’on confie à une Assemblée qui a perdu sa crédibilité et à Sénat qui est voué aux gémonies, décrié partout de par sa nature et sa composition», a déclaré le maire de Fatick.
En partance pour le Daka de Médina Gounass au Sud ouest du Sénégal, l’ancien président de l’Assemblée nationale a affirmé son opposition à la saisine des deux chambres pour faire passer la création d’un poste de vice-président de la République au Sénégal. Macky Sall a estimé qu’au plan politique, «au moment où nous souhaitions qu’il ait un dialogue, un poste aussi important devrait faire l’objet d’un accord total avec la classe politique ou du moins d’une concertation ou qu’on la soumette au peuple souverain par référendum parce qu’il faut aussi que le peuple décide de comment on va nous gouverner et de où on va nous amener».
Sur le fait que le Sénat est «voué aux gémonies», l’ancien Premier ministre a tenu à préciser : «nous n’avons rien contre les personnes qui sont des sénateurs, ce n’est pas un débat de personne mais plutôt de fond et de démocratie». Selon Macky Sall, «le président est libre de vouloir modifier la Constitution, il a la capacité de saisir le Parlement en toute légalité mais il s’agit d’un problème de légitimité».
Pour éviter des débats sempiternelles, a-t-il ajouté, «cette question pourrait être abordée dans le cadre d’une concertation élargie avec les forces vives de la nation ou tout au moins qu’elle soit soumise à un référendum et en ce moment, le peuple sénégalais saura si la vice-présidence est une préoccupation pour lui ou pas».
Le président de l’APR et membre de la conférence des leaders de Bennoo Siggil Senegaal continue de réclamer son récépissé. «C’est une situation totalement injuste. Aujourd’hui la loi est très claire en la matière. Un parti politique lorsqu’il est déclaré et ceux qui l’ont constitué sont des personnes d’honorabilité claire et pas douteuse, l’administration n’a pas le droit de faire de la rétention pour des raisons politiciennes», a martelé Macky Sall. Et d’insister : «on doit me restituer mon récépissé et je le réclamerai puisque c’est un droit».
En partance pour le Daka de Médina Gounass au Sud ouest du Sénégal, l’ancien président de l’Assemblée nationale a affirmé son opposition à la saisine des deux chambres pour faire passer la création d’un poste de vice-président de la République au Sénégal. Macky Sall a estimé qu’au plan politique, «au moment où nous souhaitions qu’il ait un dialogue, un poste aussi important devrait faire l’objet d’un accord total avec la classe politique ou du moins d’une concertation ou qu’on la soumette au peuple souverain par référendum parce qu’il faut aussi que le peuple décide de comment on va nous gouverner et de où on va nous amener».
Sur le fait que le Sénat est «voué aux gémonies», l’ancien Premier ministre a tenu à préciser : «nous n’avons rien contre les personnes qui sont des sénateurs, ce n’est pas un débat de personne mais plutôt de fond et de démocratie». Selon Macky Sall, «le président est libre de vouloir modifier la Constitution, il a la capacité de saisir le Parlement en toute légalité mais il s’agit d’un problème de légitimité».
Pour éviter des débats sempiternelles, a-t-il ajouté, «cette question pourrait être abordée dans le cadre d’une concertation élargie avec les forces vives de la nation ou tout au moins qu’elle soit soumise à un référendum et en ce moment, le peuple sénégalais saura si la vice-présidence est une préoccupation pour lui ou pas».
Le président de l’APR et membre de la conférence des leaders de Bennoo Siggil Senegaal continue de réclamer son récépissé. «C’est une situation totalement injuste. Aujourd’hui la loi est très claire en la matière. Un parti politique lorsqu’il est déclaré et ceux qui l’ont constitué sont des personnes d’honorabilité claire et pas douteuse, l’administration n’a pas le droit de faire de la rétention pour des raisons politiciennes», a martelé Macky Sall. Et d’insister : «on doit me restituer mon récépissé et je le réclamerai puisque c’est un droit».