
En partenariat avec la Fondation Mastercard, le cabinet de conseil international spécialisé en inclusion financière, économique et sociale, MicroSave Consulting (MSC), a conçu et mené une étude en Côte d'Ivoire, en France, au Mali et au Sénégal. Dans les trois pays africains, le marché des transferts internationaux a représenté 3,7 milliards de dollars en 2018 selon la Banque mondiale.
L’objectif de l’étude était de « mieux connaître les besoins et les contraintes des expéditeurs et de leurs familles et de proposer des recommandations pour développer des services financiers digitaux adaptés pour mieux répondre aux besoins des expéditeurs et receveurs des transferts d’argent », informe un communiqué transmis à PressAfrik.
En fonction de la durée pendant laquelle l'expéditeur est migrant, ses aspirations financières et ses priorités pour envoyer de l'argent chez lui « changent et sont influencées à la fois par les besoins propres du receveur et par ses relations avec sa famille ou sa communauté dans son pays d'origine ».
Selon le document, « les personnes ayant des revenus plus élevés cherchent à obtenir des prêts pour entreprendre et des prêts immobiliers ou fonciers pour pouvoir éventuellement envisager le retour au pays; les migrants permanents recherchent pour les membres de leur famille restés au pays, des offres intéressantes en matière de soins de santé préventifs, de capital humain et du financement de l'entrepreneuriat; et les destinataires recherchent des services qui apportent une valeur ajoutée et leur font gagner du temps, comme les factures récurrentes ».
Pour mieux satisfaire les besoins des diasporas, des recommandations ont été formulées. Les canaux numériques peuvent réduire le coût d'envoi de fonds, mais des efforts doivent être faits pour informer les expéditeurs de l'existence de ces canaux. Parmi les migrants interrogés en France, « seuls 15,5 % ont utilisé des canaux numériques, tels que l'application mobile, l'argent mobile ou le virement bancaire ».
L’étude fournit une multitude de recommandations opérationnelles et stratégiques pour mieux satisfaire les besoins des diasporas et de leurs familles et pour développer l’inclusion financière. Par exemple, « recruter des migrants pour collecter des fonds, faire de la vente croisée et éduquer les autres migrants pour des couloirs de paiement spécifiques ou concevoir des stratégies régionales ou spécifiques au marché dans le contexte d'une approche globale plus large qui reconnaît les besoins, le caractère et l'évolution uniques de l'espace de paiement dans chaque marché ou segment ». L’étude a noté en particulier la possibilité de cibler activement les flux de paiement liés à la santé, à l'assurance et à l'éducation.
L’objectif de l’étude était de « mieux connaître les besoins et les contraintes des expéditeurs et de leurs familles et de proposer des recommandations pour développer des services financiers digitaux adaptés pour mieux répondre aux besoins des expéditeurs et receveurs des transferts d’argent », informe un communiqué transmis à PressAfrik.
En fonction de la durée pendant laquelle l'expéditeur est migrant, ses aspirations financières et ses priorités pour envoyer de l'argent chez lui « changent et sont influencées à la fois par les besoins propres du receveur et par ses relations avec sa famille ou sa communauté dans son pays d'origine ».
Selon le document, « les personnes ayant des revenus plus élevés cherchent à obtenir des prêts pour entreprendre et des prêts immobiliers ou fonciers pour pouvoir éventuellement envisager le retour au pays; les migrants permanents recherchent pour les membres de leur famille restés au pays, des offres intéressantes en matière de soins de santé préventifs, de capital humain et du financement de l'entrepreneuriat; et les destinataires recherchent des services qui apportent une valeur ajoutée et leur font gagner du temps, comme les factures récurrentes ».
Pour mieux satisfaire les besoins des diasporas, des recommandations ont été formulées. Les canaux numériques peuvent réduire le coût d'envoi de fonds, mais des efforts doivent être faits pour informer les expéditeurs de l'existence de ces canaux. Parmi les migrants interrogés en France, « seuls 15,5 % ont utilisé des canaux numériques, tels que l'application mobile, l'argent mobile ou le virement bancaire ».
L’étude fournit une multitude de recommandations opérationnelles et stratégiques pour mieux satisfaire les besoins des diasporas et de leurs familles et pour développer l’inclusion financière. Par exemple, « recruter des migrants pour collecter des fonds, faire de la vente croisée et éduquer les autres migrants pour des couloirs de paiement spécifiques ou concevoir des stratégies régionales ou spécifiques au marché dans le contexte d'une approche globale plus large qui reconnaît les besoins, le caractère et l'évolution uniques de l'espace de paiement dans chaque marché ou segment ». L’étude a noté en particulier la possibilité de cibler activement les flux de paiement liés à la santé, à l'assurance et à l'éducation.
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