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Depuis décembre 2008, ces trois portails précités pillent sans cesse Pressafrik.com en reprenant ses productions sans permission ni autorisation. Dans le contexte actuel, ils le font de la pire manière et de la manière la plus dangereuse pour la survie des organes d'informations en ligne.
En effet, ils se contentent simplement de mettre la source et rarement le nom de l’auteur de l’article alors qu’en ce XXIe siècle la réglementation en la matière a évolué et va plus loin. Obligatoirement, les portails et les sites d’information doivent mettre, à la reprise d’un texte ou d’une information, un lien hypertexte qui renvoie directement à la source. Mieux encore pour qu’aucune partie ne soit lésée, les portails mettent maintenant le logo de ces journaux sous forme de lien cliquable.
Ce procès contre Seneweb, Xibar et Galsentv n’est nullement une volonté de museler les portails d’informations. Loin de là. Les journaux aussi bien traditionnels qu’en ligne et les portails peuvent cohabiter et cohabitent depuis l’existence de l’Internet. En revanche, les portails sont astreints à se mettre à jour comme (allodakar.com), à respecter le droit d’auteurs et la réglementation en matière de propriété intellectuelle. Internet n’est point une zone de non droit.
A côté de ces pilleurs, il y a, aussi, des fossoyeurs de la presse électronique qui paraphrasent, retravaillent son contenu sans citer la source.
Avec cette assignation en responsabilité qui va permettre au Sénégal de disposer d’une jurisprudence dans ce domaine, Pressafrik.com espère bien que les autorités et les acteurs de la presse vont saisir la balle au rebond en planchant sur l’organisation de ce secteur encore à ses balbutiements et qui pourrait sous peu exploser.
En effet, ils se contentent simplement de mettre la source et rarement le nom de l’auteur de l’article alors qu’en ce XXIe siècle la réglementation en la matière a évolué et va plus loin. Obligatoirement, les portails et les sites d’information doivent mettre, à la reprise d’un texte ou d’une information, un lien hypertexte qui renvoie directement à la source. Mieux encore pour qu’aucune partie ne soit lésée, les portails mettent maintenant le logo de ces journaux sous forme de lien cliquable.
Ce procès contre Seneweb, Xibar et Galsentv n’est nullement une volonté de museler les portails d’informations. Loin de là. Les journaux aussi bien traditionnels qu’en ligne et les portails peuvent cohabiter et cohabitent depuis l’existence de l’Internet. En revanche, les portails sont astreints à se mettre à jour comme (allodakar.com), à respecter le droit d’auteurs et la réglementation en matière de propriété intellectuelle. Internet n’est point une zone de non droit.
A côté de ces pilleurs, il y a, aussi, des fossoyeurs de la presse électronique qui paraphrasent, retravaillent son contenu sans citer la source.
Avec cette assignation en responsabilité qui va permettre au Sénégal de disposer d’une jurisprudence dans ce domaine, Pressafrik.com espère bien que les autorités et les acteurs de la presse vont saisir la balle au rebond en planchant sur l’organisation de ce secteur encore à ses balbutiements et qui pourrait sous peu exploser.
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