Parmi ces recommandations figure l’avis d’ « une réglementation du financement des partis politiques et des campagnes électorales ». Cette mission dirigée par Thijs Berman a d’abord déploré les cas d’achats de conscience qui, selon elle, étaient « très fréquents lors des deux tours de l’élection présidentielle », citée par le journal « Le Populaire ».
« L’achat de bulletins de vote non utilisés a été constaté par la mission dans la Communauté rurale de Touba-mosquée, lors d’un rassemblement du Pds à la veille et le jour du scrutin », s’indigne M. Berman, chef de la Moe Ue.
En ce qui concerne la période de la campagne électorale, la Moe Ue a dénoncé « l’utilisation inappropriée des biens publics par les deux candidats de manière notable par le président sortant qui a bénéficié des moyens de l’Etat et dans une moindre mesure par son challenger, Macky Sall ». D’où la maitrise ou la « réglementation du financement des partis politiques et des campagnes électorales ».
Dans le cadre juridique, la Moe Ue a noté que celui-là n’établit aucun critère sur lequel le Conseil constitutionnel pourrait se focaliser pour motiver une décision d’annulation et de reprise de scrutin. Ainsi, en cas de contestations, « les juges se trouveraient obliger de définir un critère ad hoc ».
« L’achat de bulletins de vote non utilisés a été constaté par la mission dans la Communauté rurale de Touba-mosquée, lors d’un rassemblement du Pds à la veille et le jour du scrutin », s’indigne M. Berman, chef de la Moe Ue.
En ce qui concerne la période de la campagne électorale, la Moe Ue a dénoncé « l’utilisation inappropriée des biens publics par les deux candidats de manière notable par le président sortant qui a bénéficié des moyens de l’Etat et dans une moindre mesure par son challenger, Macky Sall ». D’où la maitrise ou la « réglementation du financement des partis politiques et des campagnes électorales ».
Dans le cadre juridique, la Moe Ue a noté que celui-là n’établit aucun critère sur lequel le Conseil constitutionnel pourrait se focaliser pour motiver une décision d’annulation et de reprise de scrutin. Ainsi, en cas de contestations, « les juges se trouveraient obliger de définir un critère ad hoc ».