L’Etat et les syndicats d’enseignants se sont encore réunis ce mardi 17 février, trois plateformes ont été à l’origine des négociations. Ils se sont quittés sans trouver un terrain d’entente sur deux questions essentielles notamment « l’augmentation de l’indemnité de logement et l’octroi d’une indemnité de recherche et documentation (IRD) pour les syndicats ou «prime de soutient scolaire».
Echec encore des négociations entre le gouvernement et les enseignants. Ils n’ont pas pu trouver un accord pour désamorcer la crise qui secoue le milieu scolaire depuis plus de deux mois. «le gouvernement n’était pas prêt à satisfaire les propositions des syndicats qu’elle venait d’entendre, et cela pour des contraintes financières», a déclaré le ministre de la Fonction publique, de l’Emploi, du Travail et des Organisations professionnelles, Innocence Ntap Ndiaye.
Le coordonnateur de l’intersyndicale enseignante d’indiquer : «c’est inacceptable autant dans la forme que dans le fond ce qu’ils nous ont dit. Nous allons nous rencontrer le plus rapidement possible pour des contre propositions acceptables afin d’amener le gouvernement à la table de négociation et à faire des concessions à son tour», a soutenu Mamadou Diouf.
Le coordonnateur de l’intersyndicale enseignante, de poursuivre par des menaces à l’Etat : «des grèves sont prévues prochainement dans les écoles publiques. Nous avons notre agenda et les moyens de pousser le gouvernement à aller dans le sens voulu par les syndicats .Nous n’allons pas rester les bras croisés» a–t-il martelé.
Concernant la question de l’augmentation de l’indemnité de logement, qui est passée de 35.000fcfa en 2004 à 60.000fcfa en 2007. Le secrétaire général du syndicat des enseignants libres du Sénégal (SELS) Souleymane Diallo a soutenu que «par rapport à l’indemnité de logement, le gouvernement a fait comprendre aux syndicats qu’il n’était pas en mesure de faire un effort supplémentaire parce qu’il considère en avoir suffisamment fait».
Le ministre de la fonction publique a également rappelé aux enseignants les parcelles que l’état leur avait concédées. Le SELS a pensé qu’elles sont insuffisantes par rapport aux nombres d’enseignants demandeurs. «En outre, elles ne sont pas encore mises à la disposition des attributaires» a déclaré son secrétaire général, Souleymane Diallo.
Par rapport à l’indemnité de recherche et de documentation (IRD), les syndicats ne se sont pas entendus sur ce point, car les montants varient selon le statut et le diplôme professionnel. Ainsi, les syndicats se sont engagés à faire des contre-propositions qui devraient être harmonisées au moment de leurs rencontres communes avec le gouvernement.
Cependant les divergences entre les syndicats ne se trouvent pas seulement au niveau de l’IRD. Les syndicats en négociation sont aussi divisés par une lettre d’arbitrage devant être adressée au chef de l’Etat. «Le président de la République doit être l’ultime étape», a concédé le représentant du syndicat des enseignants libres du Sénégal (SELS).
«L’arbitrage du président de la République, ni celui du Premier ministre ne sont à l’ordre du jour», a tranché le ministre de la fonction publique Innocence Ntap Ndiaye.
Cette rencontre a réuni ce mardi de 16h à 18h 30 minutes, les syndicats d’enseignants que sont : l’Intersyndicale enseignante, le Collectif des neuf plus le SELS et le DUEL. La délégation gouvernementale constituée entre autre du ministre de l’éducation Kalidou Diallo, du ministre de la formation Technique et Professionnelle, Moussa Sakho, et du ministre du ministre de la fonction publique.
Echec encore des négociations entre le gouvernement et les enseignants. Ils n’ont pas pu trouver un accord pour désamorcer la crise qui secoue le milieu scolaire depuis plus de deux mois. «le gouvernement n’était pas prêt à satisfaire les propositions des syndicats qu’elle venait d’entendre, et cela pour des contraintes financières», a déclaré le ministre de la Fonction publique, de l’Emploi, du Travail et des Organisations professionnelles, Innocence Ntap Ndiaye.
Le coordonnateur de l’intersyndicale enseignante d’indiquer : «c’est inacceptable autant dans la forme que dans le fond ce qu’ils nous ont dit. Nous allons nous rencontrer le plus rapidement possible pour des contre propositions acceptables afin d’amener le gouvernement à la table de négociation et à faire des concessions à son tour», a soutenu Mamadou Diouf.
Le coordonnateur de l’intersyndicale enseignante, de poursuivre par des menaces à l’Etat : «des grèves sont prévues prochainement dans les écoles publiques. Nous avons notre agenda et les moyens de pousser le gouvernement à aller dans le sens voulu par les syndicats .Nous n’allons pas rester les bras croisés» a–t-il martelé.
Concernant la question de l’augmentation de l’indemnité de logement, qui est passée de 35.000fcfa en 2004 à 60.000fcfa en 2007. Le secrétaire général du syndicat des enseignants libres du Sénégal (SELS) Souleymane Diallo a soutenu que «par rapport à l’indemnité de logement, le gouvernement a fait comprendre aux syndicats qu’il n’était pas en mesure de faire un effort supplémentaire parce qu’il considère en avoir suffisamment fait».
Le ministre de la fonction publique a également rappelé aux enseignants les parcelles que l’état leur avait concédées. Le SELS a pensé qu’elles sont insuffisantes par rapport aux nombres d’enseignants demandeurs. «En outre, elles ne sont pas encore mises à la disposition des attributaires» a déclaré son secrétaire général, Souleymane Diallo.
Par rapport à l’indemnité de recherche et de documentation (IRD), les syndicats ne se sont pas entendus sur ce point, car les montants varient selon le statut et le diplôme professionnel. Ainsi, les syndicats se sont engagés à faire des contre-propositions qui devraient être harmonisées au moment de leurs rencontres communes avec le gouvernement.
Cependant les divergences entre les syndicats ne se trouvent pas seulement au niveau de l’IRD. Les syndicats en négociation sont aussi divisés par une lettre d’arbitrage devant être adressée au chef de l’Etat. «Le président de la République doit être l’ultime étape», a concédé le représentant du syndicat des enseignants libres du Sénégal (SELS).
«L’arbitrage du président de la République, ni celui du Premier ministre ne sont à l’ordre du jour», a tranché le ministre de la fonction publique Innocence Ntap Ndiaye.
Cette rencontre a réuni ce mardi de 16h à 18h 30 minutes, les syndicats d’enseignants que sont : l’Intersyndicale enseignante, le Collectif des neuf plus le SELS et le DUEL. La délégation gouvernementale constituée entre autre du ministre de l’éducation Kalidou Diallo, du ministre de la formation Technique et Professionnelle, Moussa Sakho, et du ministre du ministre de la fonction publique.