Vaccination des enfants (photo: AFP)
Le 16 juin, c’est la journée de l’enfant africain célébrée en souvenir aux enfants massacrés à Soweto en 1976. «La survie de l’enfant» est le thème choisi cette année pour commémorer la journée. A cet effet, la Direction de la Protection des Droits de l’Enfant a organisé une session d’information à l’intention des journalistes.
Le panéliste, Dr Gorgui Diaw, inspecteur de la Santé et gynécologue qui a fait un exposé sur la Santé maternelle et néonatale a indiqué qu’on ne peut pas protéger un enfant sans protéger sa maman. Il a déploré le retard des visites pré natales et les accouchements à domicile en donnant l’exemple des «bébé baignoires». «On en voit tous les jours à Dakar, les mamans accouchent dans les taxis et on met le bébé dans une baignoire» pour le présenter au médecin a regretté Dr Gorgui Diaw.
Cependant, un autre calvaire commence après l’accouchement avec les éventuelles infections et les grossesses rapprochées. C’est ainsi qu’ «on a rendu gratuites les consultations post natales pour ramener la maman à l’hôpital après l’accouchement», a indiqué Dr Gorgui Diaw. Selon lui, «si la maman ne va pas bien l’enfant n’ira pas bien».
On peut bien réduire la mortalité infantile si les dispositifs préventif et promotionnel sont mis en œuvre de l’avis de l’expert en Santé de l’Enfant, Pr Guélaye Sall. Il a, ainsi, fait allusion à la vaccination dont les coûts sont, selon lui, totalement à notre portée et au suivi promotion de la croissance. Ce sont des dispositifs indispensables si nous voulons atteindre l’objectif N°4 des OMD (Objectifs du millénaire pour le développement) a-t-il conclut.
La directrice de la Protection des Droits de l’Enfant, Nafissatou Sar Sow a, pour sa part, déploré le manque d’évaluation des programmes mis en œuvre pour la protection des droits de l’enfant. Selon elle, il y a une volonté politique mais des efforts restent à faire. C’est dans ce cadre qu’elle a indiqué qu’il faut une formation des acteurs et faire l’évaluation des programmes. Elle a, par ailleurs, souligné qu’il faut une coordination des efforts car «il y a beaucoup d’acteurs qui s’occupent de la défense des droits de l’enfant».
Le panéliste, Dr Gorgui Diaw, inspecteur de la Santé et gynécologue qui a fait un exposé sur la Santé maternelle et néonatale a indiqué qu’on ne peut pas protéger un enfant sans protéger sa maman. Il a déploré le retard des visites pré natales et les accouchements à domicile en donnant l’exemple des «bébé baignoires». «On en voit tous les jours à Dakar, les mamans accouchent dans les taxis et on met le bébé dans une baignoire» pour le présenter au médecin a regretté Dr Gorgui Diaw.
Cependant, un autre calvaire commence après l’accouchement avec les éventuelles infections et les grossesses rapprochées. C’est ainsi qu’ «on a rendu gratuites les consultations post natales pour ramener la maman à l’hôpital après l’accouchement», a indiqué Dr Gorgui Diaw. Selon lui, «si la maman ne va pas bien l’enfant n’ira pas bien».
On peut bien réduire la mortalité infantile si les dispositifs préventif et promotionnel sont mis en œuvre de l’avis de l’expert en Santé de l’Enfant, Pr Guélaye Sall. Il a, ainsi, fait allusion à la vaccination dont les coûts sont, selon lui, totalement à notre portée et au suivi promotion de la croissance. Ce sont des dispositifs indispensables si nous voulons atteindre l’objectif N°4 des OMD (Objectifs du millénaire pour le développement) a-t-il conclut.
La directrice de la Protection des Droits de l’Enfant, Nafissatou Sar Sow a, pour sa part, déploré le manque d’évaluation des programmes mis en œuvre pour la protection des droits de l’enfant. Selon elle, il y a une volonté politique mais des efforts restent à faire. C’est dans ce cadre qu’elle a indiqué qu’il faut une formation des acteurs et faire l’évaluation des programmes. Elle a, par ailleurs, souligné qu’il faut une coordination des efforts car «il y a beaucoup d’acteurs qui s’occupent de la défense des droits de l’enfant».