Le ministre de l'Economie et des Finances, Abdoulaye Diop (photo: AFP)
Le sommet du G20 est ouvert ce jeudi à Londres. Beaucoup de défis attendent les pays concernés. Face à la crise qui secoue le monde, les pays pauvres particulièrement, les chefs d’Etat et de gouvernement du G20 se doivent d’être plus pragmatiques dans la recherche de solutions. «Nous espérons une prise en charge des problèmes que nous rencontrons actuellement. C’est-à-dire au niveau de la gouvernance mondiale nous espérons qu’il y aura une amélioration» a estimé le ministre de l’Economie et des Finances sénégalais, Abdoulaye Diop.
Le Sénégal souhaite aussi que «la voix des pays en développement soit mieux prise en compte dans les organismes internationaux avec plus de représentativité, qu’on vote une prise en charge de notre voix au niveau des Conseils d’administration» a soutenu Abdoulaye Diop. A cet effet, il a donné l’exemple de la Banque mondiale et du Fonds monétaire qui l’ont commencé avec une modification des statuts. «Nous voulons que nous qui bénéficions de l’appui de ces institutions qu’on puisse avoir notre mot à dire sur la manière de diriger ces institutions» a fait comprendre le ministre.
Les pays développés et les pays émergents pourront-ils trouver une issue à la crise économique ? En tout cas les pays en développement attendent beaucoup des invités du Premier ministre britannique, Gordon Brown.
Le Sénégal souhaite aussi que «la voix des pays en développement soit mieux prise en compte dans les organismes internationaux avec plus de représentativité, qu’on vote une prise en charge de notre voix au niveau des Conseils d’administration» a soutenu Abdoulaye Diop. A cet effet, il a donné l’exemple de la Banque mondiale et du Fonds monétaire qui l’ont commencé avec une modification des statuts. «Nous voulons que nous qui bénéficions de l’appui de ces institutions qu’on puisse avoir notre mot à dire sur la manière de diriger ces institutions» a fait comprendre le ministre.
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