En ce début du troisième millénaire, il ya une reconfiguration socio-politique au niveau national en sus des mutations profondes (…) idéologiques, économiques et scientifiques, d’après le comité d’initiative pour l’unification du mouvement islamique au Sénégal. Cela suscite le besoin d’un changement. Le comité a ainsi manifesté son désir de renouveau. Cependant, selon son président, Mansour Ndiaye «ce renouveau Islamique n’est pas une posture idéologique. Il n’a ni la prétention de construire la religion musulmane dont les fondements ont été posés au Sénégal depuis plus d’un millénaire, ni de nier les efforts consentis par ses prédécesseurs dans le champ social, politique et culturel du pays». Pour lui et ses camarades ce projet vise à «réunir les énergies de maturité et le besoin de dépasser le cloisonnement». C’est un désir d’avenir commun qui «réfutent ceux qui nous martyrisent et nous aliènent dans notre cadre de vie qui est le Sénégal» ont-ils poursuivi.
Ces dérives sont, entres autres, le clientélisme politique, la corruption, l’entrave à la liberté d’expression, le fatalisme à l’image de l’oubli du bateau le Joola, le développement des contre-valeurs comme l’homosexualité, la tricherie de dirigeants religieux et politique ont souligné les membres du comité. Donnant l’exemple de l’OCI (l’organisation de la conférence islamique), ils ont indiqué «l’arnaque du siècle, l’OCI n’a pas dissipé nos problèmes encore moins ses investissements qui n’ont été que le témoin de la cherté croissante de la vie».
Plus de quarante structures venues de différentes localités du pays et constituées de toutes les catégories de la population sont attendues à la rencontre. Le thème du congrès est «le mouvement islamique au Sénégal : Usages pluriels et désir d’avenir commun». Le congrès qui s’ouvre ce dimanche «consacrera l’engagement de toutes ces structures et leur adhésion à la marche vers le mouvement», ont indiqué les responsables du comité.
Ces dérives sont, entres autres, le clientélisme politique, la corruption, l’entrave à la liberté d’expression, le fatalisme à l’image de l’oubli du bateau le Joola, le développement des contre-valeurs comme l’homosexualité, la tricherie de dirigeants religieux et politique ont souligné les membres du comité. Donnant l’exemple de l’OCI (l’organisation de la conférence islamique), ils ont indiqué «l’arnaque du siècle, l’OCI n’a pas dissipé nos problèmes encore moins ses investissements qui n’ont été que le témoin de la cherté croissante de la vie».
Plus de quarante structures venues de différentes localités du pays et constituées de toutes les catégories de la population sont attendues à la rencontre. Le thème du congrès est «le mouvement islamique au Sénégal : Usages pluriels et désir d’avenir commun». Le congrès qui s’ouvre ce dimanche «consacrera l’engagement de toutes ces structures et leur adhésion à la marche vers le mouvement», ont indiqué les responsables du comité.
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