Selon les sources proches de la localité « les assaillants sont revenus la nuit après le départ des militaires et ils se sont pris à quelques boutiques de la place et emportés des portables et des marchandises » .
Toutefois, poursuit notre interlocuteur « le mari du secrétaire de la municipalité s’est vu passer à tabac par les hommes armés qui étaient au environ d’une quinzaine ainsi que le chauffeur du médecin qui a été blessé ». Une autre source renseigne aussi « que l’Iden de Bignona en inspection à Thionck Essyl serait tombé entre les mains des assaillants et sa voiture réquisitionnée ».
Avec l’incident de plus qui vient s’ajouter aux précédents, les populations de la localité sont terrifiées et demandent désespérément la présence de l’armée dans cette localité qui ne cesse de cautionner les forfaits des bandes armées. Toutefois, il faut signaler que des liaisons régulières sont effectuées par l’armée dans cette zone , en dépit des braquages qui se poursuivent et s’accentuent.
Aujourd’hui, si le long de la transgambienne, la sécurité semble être assuré, ce n’est pas le cas à l’intérieur du département de Bignona. Ce qui fera dire à certains observateurs de la région que la zone du boulouf est loin d’être maîtrisée par l’armée qui tarde à apporter des solutions à la sécurisation des personnes et des biens.
Que faut-il faire aujourd’hui devant de pareils cas ? Quel comportement l’armée doit –elle adopter ? Et quel peut être la solution pour la fin des hostilités ? Ce sont les préoccupations des populations sous l’effet de choc.
Toutefois, poursuit notre interlocuteur « le mari du secrétaire de la municipalité s’est vu passer à tabac par les hommes armés qui étaient au environ d’une quinzaine ainsi que le chauffeur du médecin qui a été blessé ». Une autre source renseigne aussi « que l’Iden de Bignona en inspection à Thionck Essyl serait tombé entre les mains des assaillants et sa voiture réquisitionnée ».
Avec l’incident de plus qui vient s’ajouter aux précédents, les populations de la localité sont terrifiées et demandent désespérément la présence de l’armée dans cette localité qui ne cesse de cautionner les forfaits des bandes armées. Toutefois, il faut signaler que des liaisons régulières sont effectuées par l’armée dans cette zone , en dépit des braquages qui se poursuivent et s’accentuent.
Aujourd’hui, si le long de la transgambienne, la sécurité semble être assuré, ce n’est pas le cas à l’intérieur du département de Bignona. Ce qui fera dire à certains observateurs de la région que la zone du boulouf est loin d’être maîtrisée par l’armée qui tarde à apporter des solutions à la sécurisation des personnes et des biens.
Que faut-il faire aujourd’hui devant de pareils cas ? Quel comportement l’armée doit –elle adopter ? Et quel peut être la solution pour la fin des hostilités ? Ce sont les préoccupations des populations sous l’effet de choc.
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