Accident de circulation sur la route (photo: photos.linternaute.com)
«85% des accidents de la route sont imputables à des facteurs humains avec au moins 350 personnes qui perdent la vie et 2100 autres qui s’en sortent annuellement avec des blessures graves», a alerté le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et Aériens, Habib Sy. Il a présidé ce mardi la cérémonie d’ouverture de la 7ème édition de la Semaine nationale de la prévention routière. Il a essayé de donner les causes des accidents qui selon lui, sont dus à «l’imprudence et l’insouciance des conducteurs. On remarque une réelle délinquance qui continue de se manifester dans la circulation routière».
Le ministre des Transports, Habib Sy a eu à prodiguer des solutions pour lutter efficacement contre ce «lourd fardeau» à la fois humain et économique.
La direction des transports a estimé que les nouvelles dispositions du code de la route de janvier 2004 peuvent être une solution. Elle a, ainsi, indiqué que cette année on a procédé au relèvement de l’âge requis pour l’examen du permis de conduire pour le poids lourd et les transports en commun, qui passe respectivement de 21 à 22 ans. «Il est obligatoire que le postulant pour la catégorie transport en commun soit titulaire du permis de conduire poids léger depuis au moins 1an. De plus, le délai d’ajournement à l’examen du permis de conduire, après tout échec est passé de 8 jours à 1 mois, tant pour l’examen théorique que celui de la pratique», a souligné le ministre des Transports terrestre et aérien. Il a aussi ajouté que «l’utilisation du téléphone portable par le conducteur est interdite. De même, il est rendu obligatoire le port de la ceinture de sécurité aussi bien pour le conducteur que le passager à l’avant du véhicule».
Habib Sy a, en outre, annoncé que «les sanctions ne sont plus pécuniaires ou pénales mais à la fois pécuniaires et pénales». Il a toutefois, reconnu que «ces innovations sont très significatives, mais ne sont pas encore parvenues à freiner les méfaits sur la route». C’est à ce titre qu’il a fait savoir : «une meilleure appropriation et une application plus rigoureuse des nouvelles dispositions du code de la route s’imposent».
Le maître d’œuvre de la semaine nationale de la prévention routière par ailleurs directeur de la prévention routière, Mactar Faye a invité les acteurs de la route à plus de mobilisation et de vigilance pour le respect du code de la route. Il a estimé que le respect du code de la route est plus qu’une exigence. Il est devenu un devoir.
La semaine nationale de la prévention routière se poursuit jusqu’au 26 avril prochain avec une série de manifestations et de sensibilisations qui va se dérouler un peu partout sur le territoire national.
Le ministre des Transports, Habib Sy a eu à prodiguer des solutions pour lutter efficacement contre ce «lourd fardeau» à la fois humain et économique.
La direction des transports a estimé que les nouvelles dispositions du code de la route de janvier 2004 peuvent être une solution. Elle a, ainsi, indiqué que cette année on a procédé au relèvement de l’âge requis pour l’examen du permis de conduire pour le poids lourd et les transports en commun, qui passe respectivement de 21 à 22 ans. «Il est obligatoire que le postulant pour la catégorie transport en commun soit titulaire du permis de conduire poids léger depuis au moins 1an. De plus, le délai d’ajournement à l’examen du permis de conduire, après tout échec est passé de 8 jours à 1 mois, tant pour l’examen théorique que celui de la pratique», a souligné le ministre des Transports terrestre et aérien. Il a aussi ajouté que «l’utilisation du téléphone portable par le conducteur est interdite. De même, il est rendu obligatoire le port de la ceinture de sécurité aussi bien pour le conducteur que le passager à l’avant du véhicule».
Habib Sy a, en outre, annoncé que «les sanctions ne sont plus pécuniaires ou pénales mais à la fois pécuniaires et pénales». Il a toutefois, reconnu que «ces innovations sont très significatives, mais ne sont pas encore parvenues à freiner les méfaits sur la route». C’est à ce titre qu’il a fait savoir : «une meilleure appropriation et une application plus rigoureuse des nouvelles dispositions du code de la route s’imposent».
Le maître d’œuvre de la semaine nationale de la prévention routière par ailleurs directeur de la prévention routière, Mactar Faye a invité les acteurs de la route à plus de mobilisation et de vigilance pour le respect du code de la route. Il a estimé que le respect du code de la route est plus qu’une exigence. Il est devenu un devoir.
La semaine nationale de la prévention routière se poursuit jusqu’au 26 avril prochain avec une série de manifestations et de sensibilisations qui va se dérouler un peu partout sur le territoire national.