Le chef de l'Etat, Abdoulaye Wade promet de rétablir le fil du dialogue politique après les locales
’’C’est une bonne nouvelle, cela va décrisper l’atmosphère politique et c’est lui-même qui en a pris la responsabilité et en même temps l’initiative. Il faut l’en remercier et l’encourager’’, a commenté Me Mbaye Jacques Diop.
A la question de savoir si ce dialogue qui sera engagé débouchera sur la formation d’un gouvernement d’union nationale, M. Diop a déclaré : ‘’ce qui est important, c’est d’abord le dialogue’’.
’’Que le dialogue se fasse, qu’il soit un dialogue ouvert, qu’il permette au président de la République d’exprimer son opinion et d’écouter aussi l’opinion des autres. Dès lors que cela sera fait, le reste sera très facile’’, a-t-il ajouté.
Le dialogue a été rompu entre le président Wade et l’opposition dite significative, quand cette dernière contestant les résultats de la dernière présidentielle de février 2007, a estimé que le scrutin ne s’est pas déroulé dans la transparence.
Dans la foulée, les partis concernés ont boycotté les législatives organisées juste après la présidentielle, avant de se regrouper au sein du Front Siggil Senegaal, une structure de concertation destinée selon eux à ’’redresser’’ le pays et sa direction.
Joignant l’acte à la parole, les formations politiques concernées se sont résolues à organiser des ’’Assises nationales’’, un forum politique destiné à faire l’état de la situation du pays et de proposer des solutions de sortie de crise.
Malgré l’opposition du pouvoir, qui a appelé ses soutiens et alliés à s’abstenir de participer à cette initiative, des partis politiques, des opérateurs économiques, des membres de la société civile et d’anciens généraux ont pris part aux ’’Assises nationales’’.
Après des mois de débats et de ’’consultations citoyennes’’ à l’échelle du territoire national, le forum politique en question a commencé à restituer les résultats de ses analyses et de ses contacts, assortis de recommandations qui devront engager l’ensemble des parties impliquées dans cette initiative.
Dans la perspective des prochaines locales du 22 mars prochain, le Front Siggil Senegaal s’est retrouvé au sein de la coalition Benno Siggil Senegaal, structure destinée à faire l’unité dans les rangs de l’opposition en présentant des listes uniques dans la presque totalité des collectivités locales du pays.
A la question de savoir si ce dialogue qui sera engagé débouchera sur la formation d’un gouvernement d’union nationale, M. Diop a déclaré : ‘’ce qui est important, c’est d’abord le dialogue’’.
’’Que le dialogue se fasse, qu’il soit un dialogue ouvert, qu’il permette au président de la République d’exprimer son opinion et d’écouter aussi l’opinion des autres. Dès lors que cela sera fait, le reste sera très facile’’, a-t-il ajouté.
Le dialogue a été rompu entre le président Wade et l’opposition dite significative, quand cette dernière contestant les résultats de la dernière présidentielle de février 2007, a estimé que le scrutin ne s’est pas déroulé dans la transparence.
Dans la foulée, les partis concernés ont boycotté les législatives organisées juste après la présidentielle, avant de se regrouper au sein du Front Siggil Senegaal, une structure de concertation destinée selon eux à ’’redresser’’ le pays et sa direction.
Joignant l’acte à la parole, les formations politiques concernées se sont résolues à organiser des ’’Assises nationales’’, un forum politique destiné à faire l’état de la situation du pays et de proposer des solutions de sortie de crise.
Malgré l’opposition du pouvoir, qui a appelé ses soutiens et alliés à s’abstenir de participer à cette initiative, des partis politiques, des opérateurs économiques, des membres de la société civile et d’anciens généraux ont pris part aux ’’Assises nationales’’.
Après des mois de débats et de ’’consultations citoyennes’’ à l’échelle du territoire national, le forum politique en question a commencé à restituer les résultats de ses analyses et de ses contacts, assortis de recommandations qui devront engager l’ensemble des parties impliquées dans cette initiative.
Dans la perspective des prochaines locales du 22 mars prochain, le Front Siggil Senegaal s’est retrouvé au sein de la coalition Benno Siggil Senegaal, structure destinée à faire l’unité dans les rangs de l’opposition en présentant des listes uniques dans la presque totalité des collectivités locales du pays.