La corruption gangrène la passation des marchés (photo: accel6.mettre-put-idata.over-blog.com)
Selon Mr Cornel Resanga Amoth économiste et expert financier, les défis identifiés au Kenya sont la transparence, l’intégrité, la vision et la lutte contre la corruption. Cependant, il révèle que la compétition peut se faire de manière déloyale notamment dans l’acquisition des marchés. Aussi poursuit-t-il, le manque de capacités de personnel et le non respect des lois et règlements constituent un frein pour le développement de ce secteur.
Un autre défi plus ou moins important à relever, est la corruption. C'est l'avis de Marcelo Rozo, de Transparence Internationale. Il est formel: "20% des recettes sont consommés par la corruption". De l'avis de la représentante de Transparence Internationale, beaucoup d’efforts doivent être fait au niveau des banques pour que le système de passation de marchés réponde aux normes internationales. Pour réduire les risques de corruption lors des passations de marche, Marcela Rozo propose des sanctions contre les entreprises corrompues.
D'autres facteurs sont aussi à l'origine de la corruption. L’ingérence politique des hautes autorités lors de la passation des marchés ou encor une corruption d’ordre figure en bonne place.
La Banque Mondiale prône, pour sa part, un système d’évaluation et d'harmonisation des marches. La représentante de la Banque Mondiale déclare que l'harmonisation passe par l’intégration de toutes les parties prenantes à savoir, le gouvernement, la société civile, le secteur public et privé, affirme Asha Ayoung.
Le président du patronat sénégalais a évoqué la primauté du secteur privé par rapport à l’étranger dans l’octroi des marchés. Ainsi, Baidy Agne a fait savoir qu’ « un Etat stratège est celui qui aide ces entreprises privés».
Les panélistes ont déploré dans les débats le manque de controle et un système d’audit efficace dans les systèmes nationaux de passation de marchés. Ils conseillent ainsi l’établissement de nouvelles procédures dans les pays concernés.
Un autre défi plus ou moins important à relever, est la corruption. C'est l'avis de Marcelo Rozo, de Transparence Internationale. Il est formel: "20% des recettes sont consommés par la corruption". De l'avis de la représentante de Transparence Internationale, beaucoup d’efforts doivent être fait au niveau des banques pour que le système de passation de marchés réponde aux normes internationales. Pour réduire les risques de corruption lors des passations de marche, Marcela Rozo propose des sanctions contre les entreprises corrompues.
D'autres facteurs sont aussi à l'origine de la corruption. L’ingérence politique des hautes autorités lors de la passation des marchés ou encor une corruption d’ordre figure en bonne place.
La Banque Mondiale prône, pour sa part, un système d’évaluation et d'harmonisation des marches. La représentante de la Banque Mondiale déclare que l'harmonisation passe par l’intégration de toutes les parties prenantes à savoir, le gouvernement, la société civile, le secteur public et privé, affirme Asha Ayoung.
Le président du patronat sénégalais a évoqué la primauté du secteur privé par rapport à l’étranger dans l’octroi des marchés. Ainsi, Baidy Agne a fait savoir qu’ « un Etat stratège est celui qui aide ces entreprises privés».
Les panélistes ont déploré dans les débats le manque de controle et un système d’audit efficace dans les systèmes nationaux de passation de marchés. Ils conseillent ainsi l’établissement de nouvelles procédures dans les pays concernés.
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