Diatou Cissé Badiane, Secrétaire Général du SYNPICS
Le CESTI a accueilli ce samedi la rencontre de restitution des travaux du comité de réflexion sur le mécanisme de fonctionnement du CORED. Cet organisme d’autorégulation doit permettre à la fois, de mieux protéger les journalistes contre les abus et de les rappeler à l’ordre en cas de dérive. Une fois adopté à l’unanimité, le CORED s’il ne change pas de nom va remplacer le CRED (Conseil pour le respect de l’éthique et de la déontologie) dont les erreurs notées dès sa création ont souvent bloqué le fonctionnement.
En effet, « beaucoup de personnes ne se sentent pas concernées par le CRED parce que disent-elles, elles n’étaient pas présentes lors de sa création. C’est pour éviter les erreurs de sa mise en place que les patrons de presse et les journalistes organisés en réseau ont été consultés avant l’adoption du règlement intérieur et de la charte du CORED » a fait savoir un des membres du comité de réflexion, Ibrahima Bakhoum. Le CRED souffre de manque de moyen et il a été crée dans un contexte où il n’y avait pas autant de journaux, de radios et de télévisions que maintenant. Cet aspect justifie aussi, selon lui, la nécessité de le remplacer.
Le comité de réflexion, qui envisage d’informer ses partenaires prochainement, s’est aussi engagé à prendre en compte toutes les suggestions faites au cours de la restitution. Ce, « pour rendre crédible le CORED et faire en sorte que le comité qui sera mis en place engage tout le monde aussi bien dans ses décisions que dans sa démarche », a précisé Ibrahima Bakhoum. En ce qui concerne les ressources de fonctionnement du CORED, le statut prévoit dans son article 6 « des cotisations des organes de presse et des organisations professionnelles, une subvention accordée par l’Etat, les revenus générés par ses activités propres et les dons et legs de ses partenaires après examen ».
Toutefois, dans son mécanisme de fonctionnement, le comité de réflexion n’a pas pris en compte la presse en ligne. Ibrahima Bahoum a avoué que «c’est une omission et que très prochaine le comité de réflexion va se réunir pour réfléchir sur cette question. Mais, a-t-il précisé « tout ce qui se met en ligne n’est pas forcément un journal, parce qu’il y a des contenus de certaine presse en ligne qui ne changent pas pendant plusieurs jours».
En effet, « beaucoup de personnes ne se sentent pas concernées par le CRED parce que disent-elles, elles n’étaient pas présentes lors de sa création. C’est pour éviter les erreurs de sa mise en place que les patrons de presse et les journalistes organisés en réseau ont été consultés avant l’adoption du règlement intérieur et de la charte du CORED » a fait savoir un des membres du comité de réflexion, Ibrahima Bakhoum. Le CRED souffre de manque de moyen et il a été crée dans un contexte où il n’y avait pas autant de journaux, de radios et de télévisions que maintenant. Cet aspect justifie aussi, selon lui, la nécessité de le remplacer.
Le comité de réflexion, qui envisage d’informer ses partenaires prochainement, s’est aussi engagé à prendre en compte toutes les suggestions faites au cours de la restitution. Ce, « pour rendre crédible le CORED et faire en sorte que le comité qui sera mis en place engage tout le monde aussi bien dans ses décisions que dans sa démarche », a précisé Ibrahima Bakhoum. En ce qui concerne les ressources de fonctionnement du CORED, le statut prévoit dans son article 6 « des cotisations des organes de presse et des organisations professionnelles, une subvention accordée par l’Etat, les revenus générés par ses activités propres et les dons et legs de ses partenaires après examen ».
Toutefois, dans son mécanisme de fonctionnement, le comité de réflexion n’a pas pris en compte la presse en ligne. Ibrahima Bahoum a avoué que «c’est une omission et que très prochaine le comité de réflexion va se réunir pour réfléchir sur cette question. Mais, a-t-il précisé « tout ce qui se met en ligne n’est pas forcément un journal, parce qu’il y a des contenus de certaine presse en ligne qui ne changent pas pendant plusieurs jours».