Le syndicat a dénoncé la mise en chômage technique d’une quinzaine de salariés par la direction de la structure, sans indemnisation et cela pour une durée de deux mois. Les travailleurs estiment que «depuis l’installation de la Direction actuelle, conduite par Madame Ngom, le harcèlement, le clientélisme, la suspicion, l’intimidation, la répression et l’illégalité la plus totale sont au coeur de la gestion du Comptoir Prestige Duty Free (CPD)» a souligné un communiqué qui est parvenu à la rédaction de Pressafrik. Com.
«Les règles les plus élémentaires du droit du travail sont foulées au pied par une femme juriste de formation et épouse d’un homme de droit, de surcroît Ministre d’Etat», a indique le communiqué du Syndicat Unique des Travailleurs des Transports Aériens et Activités Annexes du Sénégal (SUTTAAAS).
Ces travailleurs s’indignent «du non reversement des impôts et cotisations sociales prélevés sur les bulletins de salaires. La suspension de l’affiliation à l’Institution de Prévoyance Maladie du Cap Vert. Cela, en dépit du prélèvement mensuel de 6.000f CFA sur chaque salarié», a fait savoir la même source. Ce qui fait que « depuis plusieurs mois, les travailleurs du CPD et leurs familles sont sans couverture médicale», a-t-elle expliqué.
Le Ministère des Affaires Etrangères avait décidé de retirer la licence d’exploitation du Salon d’Honneur de l’aéroport Léopold Sédar Senghor, le syndicat a révélé que «cela fait suite à de nombreuses fautes commises par la Direction du Comptoir Prestige Duty Free (CPD), habituée au trafic d’influence et passe-droits (confection et commercialisation de cartes d’accès, sans autorisation) ».
En outre, le SUTTAAAS a dénoncé énergiquement le chômage technique opéré par la
Direction du Comptoir Prestige Duty free (CPD), au mépris des dispositions édictées par l’article L.65 du Code du Travail du Sénégal.
Le dit syndicat estime pourvoir en justice pour faire valoir le droit des travailleurs. « Le SUTTAAAS engagera toutes les actions légales et légitimes pour faire respecter le droit et la dignité des travailleurs du Comptoir Prestige Duty free CPD ».
Selon le Syndicat Unique des Travailleurs des Transports Aériens et Activités Annexes du Sénégal, le moment est arrivé de stopper par tous les moyens l’arrogance et l’arbitraire de Madame Aline Ngom.
«Les règles les plus élémentaires du droit du travail sont foulées au pied par une femme juriste de formation et épouse d’un homme de droit, de surcroît Ministre d’Etat», a indique le communiqué du Syndicat Unique des Travailleurs des Transports Aériens et Activités Annexes du Sénégal (SUTTAAAS).
Ces travailleurs s’indignent «du non reversement des impôts et cotisations sociales prélevés sur les bulletins de salaires. La suspension de l’affiliation à l’Institution de Prévoyance Maladie du Cap Vert. Cela, en dépit du prélèvement mensuel de 6.000f CFA sur chaque salarié», a fait savoir la même source. Ce qui fait que « depuis plusieurs mois, les travailleurs du CPD et leurs familles sont sans couverture médicale», a-t-elle expliqué.
Le Ministère des Affaires Etrangères avait décidé de retirer la licence d’exploitation du Salon d’Honneur de l’aéroport Léopold Sédar Senghor, le syndicat a révélé que «cela fait suite à de nombreuses fautes commises par la Direction du Comptoir Prestige Duty Free (CPD), habituée au trafic d’influence et passe-droits (confection et commercialisation de cartes d’accès, sans autorisation) ».
En outre, le SUTTAAAS a dénoncé énergiquement le chômage technique opéré par la
Direction du Comptoir Prestige Duty free (CPD), au mépris des dispositions édictées par l’article L.65 du Code du Travail du Sénégal.
Le dit syndicat estime pourvoir en justice pour faire valoir le droit des travailleurs. « Le SUTTAAAS engagera toutes les actions légales et légitimes pour faire respecter le droit et la dignité des travailleurs du Comptoir Prestige Duty free CPD ».
Selon le Syndicat Unique des Travailleurs des Transports Aériens et Activités Annexes du Sénégal, le moment est arrivé de stopper par tous les moyens l’arrogance et l’arbitraire de Madame Aline Ngom.