Selon Alioune Dème, enseignant-chercheur à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), ces pièces archéologiques, toujours en cours d'analyse, pourraient remonter à une période comprise entre 7.000 et 2.000 ans avant Jésus Christ.
Ces pièces ont été mises au jour après les fortes pluies enregistrées à Dakar le 26 août, dans le quartier de Ouest-Foire (nord-est de la capitale), a expliqué Moustapha Sall, également enseignant-chercheur à l'Ucad.
"En visitant une zone inondée, je suis tombé par hasard" sur ces pièces archéologiques exhumées, qui comprennent notamment des "tessons de poterie, des coquillages perforés qui sont des restes d'aliments réutilisés en objets de parure, des scories en fer et des pierres microlithiques dont des lamelles qui devaient servir à couper (des objets) ou dépecer", a affirmé M. Sall.
"L'eau a décapé le sable et mis au jour ces objets archéologiques. Des ouvriers m'ont dit avoir trouvé pas mal de tessons (de poterie) et de coquillages" sur le site abritant de nombreux chantiers de construction qui menacent de perturber les fouilles envisagées, a-t-il ajouté.
"Nous allons faire l'analyse (approfondies) des objets trouvés et les envoyer au laboratoire" dans un institut de l'UCAD spécialisé dans la datation des vestiges historiques, a précisé Moustapha Sall.
Avec AFP
Ces pièces ont été mises au jour après les fortes pluies enregistrées à Dakar le 26 août, dans le quartier de Ouest-Foire (nord-est de la capitale), a expliqué Moustapha Sall, également enseignant-chercheur à l'Ucad.
"En visitant une zone inondée, je suis tombé par hasard" sur ces pièces archéologiques exhumées, qui comprennent notamment des "tessons de poterie, des coquillages perforés qui sont des restes d'aliments réutilisés en objets de parure, des scories en fer et des pierres microlithiques dont des lamelles qui devaient servir à couper (des objets) ou dépecer", a affirmé M. Sall.
"L'eau a décapé le sable et mis au jour ces objets archéologiques. Des ouvriers m'ont dit avoir trouvé pas mal de tessons (de poterie) et de coquillages" sur le site abritant de nombreux chantiers de construction qui menacent de perturber les fouilles envisagées, a-t-il ajouté.
"Nous allons faire l'analyse (approfondies) des objets trouvés et les envoyer au laboratoire" dans un institut de l'UCAD spécialisé dans la datation des vestiges historiques, a précisé Moustapha Sall.
Avec AFP