Le député et ancien ministre de la Jeunesse et de l'Emploi, Aliou Sow
Invité de l’émission «Grand jury» de la Radio Futurs Médias (RFM), l’ancien patron de l’Union des Jeunesses Libérales et Travaillistes (UJTL) et ex-ministre de la Jeunesse et de l’emploi a plaidé pour une punition des ministres d’Etat, ministres et hauts responsables du PDS qui seraient battus lors des élections locales du 22 mars prochain dans leur localité. «Les élections locales doivent être un tournant important dans la vie du PDS. Les grands responsables qui sont directement impliqués dans ces élections, que cela soit des ministres, des ministres d’Etat ou de hauts responsables dans le parti, s’ils se font battre dans leur localité, ils doivent passer à la trappe», a déclaré Aliou Sow sans ambages.
Le responsable libéral à Kaffrine (193km au centre ouest) et député s’est prononcé sur l’exclusion de Mbaye Ndiaye et de Moustapha Cissé Lo de l’Assemblée nationale. Il a estimé que «Mbaye N’diaye et Moustapha Cissé Lo ont le droit de faire recours à la justice jusqu'à l’épuisement de l’ensemble des recours prévus par la loi, si ces recours existent».
Aliou Sow a, tout de même, tenu à prendre une distance vis-à-vis de ces responsables libéraux «bannis» par leur parti. «Ils sont les concernés de cette affaire. Le président du groupe parlementaire (de la majorité, Doudou Wade et neveu du chef de l’Etat) a, clairement, dit ce qu’on leur reproche. Leur comportement et leur actes sont assimilables à une démission parce qu’il y a collusion avec une force concurrente au parti et que le parti prévoit dans ses textes la constatation de la démission pour tout militant ou militante qui est en collusion ou en collection directe avec une force concurrente ou adverse. Ce sont ces arguments qui ont été donnés», a expliqué l’ancien ministre de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes.
En tant membre de la Cour de la justice devant connaître du cas de l’ex-ministre des Transports, Farba Senghor dans le cadre du saccage des rédactions des journaux «L’As» et «24H Chrono», le député s’est voulu très prudent. «Farba Senghor est membre d’un parti et son parti a la majorité à l’assemblée nationale, au parlement de façon globale. Il a le droit de faire son lobbying, sa sensibilisation pour que, si on en arrive à devoir le mettre en accusation, les gens ne votent pas», a-t-il répondu sur les correspondances de l’ex-ministre pour que les députés et sénateurs ne votent pas sa mise en accusation.
Pour ce qui est des rapports actuels entre la presse et le pouvoir, le journaliste de formation a fait savoir :«un pouvoir ne déclare pas la guerre à sa presse. Il faut dialoguer, échanger. Il faut étudier la meilleure solution pour qu’il y ait une bonne et harmonieuse cohabitation entre tous les partis politiques et la presse, entre le gouvernement et la presse».
Le responsable libéral à Kaffrine (193km au centre ouest) et député s’est prononcé sur l’exclusion de Mbaye Ndiaye et de Moustapha Cissé Lo de l’Assemblée nationale. Il a estimé que «Mbaye N’diaye et Moustapha Cissé Lo ont le droit de faire recours à la justice jusqu'à l’épuisement de l’ensemble des recours prévus par la loi, si ces recours existent».
Aliou Sow a, tout de même, tenu à prendre une distance vis-à-vis de ces responsables libéraux «bannis» par leur parti. «Ils sont les concernés de cette affaire. Le président du groupe parlementaire (de la majorité, Doudou Wade et neveu du chef de l’Etat) a, clairement, dit ce qu’on leur reproche. Leur comportement et leur actes sont assimilables à une démission parce qu’il y a collusion avec une force concurrente au parti et que le parti prévoit dans ses textes la constatation de la démission pour tout militant ou militante qui est en collusion ou en collection directe avec une force concurrente ou adverse. Ce sont ces arguments qui ont été donnés», a expliqué l’ancien ministre de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes.
En tant membre de la Cour de la justice devant connaître du cas de l’ex-ministre des Transports, Farba Senghor dans le cadre du saccage des rédactions des journaux «L’As» et «24H Chrono», le député s’est voulu très prudent. «Farba Senghor est membre d’un parti et son parti a la majorité à l’assemblée nationale, au parlement de façon globale. Il a le droit de faire son lobbying, sa sensibilisation pour que, si on en arrive à devoir le mettre en accusation, les gens ne votent pas», a-t-il répondu sur les correspondances de l’ex-ministre pour que les députés et sénateurs ne votent pas sa mise en accusation.
Pour ce qui est des rapports actuels entre la presse et le pouvoir, le journaliste de formation a fait savoir :«un pouvoir ne déclare pas la guerre à sa presse. Il faut dialoguer, échanger. Il faut étudier la meilleure solution pour qu’il y ait une bonne et harmonieuse cohabitation entre tous les partis politiques et la presse, entre le gouvernement et la presse».
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