Les divorces sont fréquents dans le milieu de la presse surtout du côté des femmes journalistes. Le Syndicat National des Professionnels de l’Information et de la Communication Sociale du Sénégal (SYNPICS) cherche à y mettre un terme. Il se bat pour améliorer les conditions des femmes journalistes et à inclure dans la convention collective qui régit ce métier un mécanisme de promotion du genre. En partenariat avec l’antenne sous régionale de la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ), le SYNPICS tient, à ce sujet, un atelier de deux jours qui a démarré ce mercredi 21 janvier à Dakar.
Cette rencontre va permettre de passer au crible les problèmes (manque de promotion, non implication dans les prises de décisions, conditions de travail des mères de famille, mariées, sécurité dans et en dehors du lieu de travail…) auxquels sont confrontées les femmes dans les organes de presse.
La responsable du volet genre du SYNPICS et conférencière, Boury Sock a indiqué que «l’objectif de cet atelier est de trouver des solutions à ces problèmes, d’avoir un mécanisme de promotion du genre au sein de la convention». La journaliste à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) a, en outre, évoqué certaines difficultés sociales relatives à l’exercice du métier. «Les divorces sont liés aux conditions de travail. Les horaires de travail nous obligent à rester en dehors de notre famille. Nous voulons assurer et assumer nos deux rôles de femme (au foyer et au travail)», a-t-elle expliqué. Boury Sock a, dans le même régistre, fait comprendre : «ainsi, nous souhaitons à la sortie de cette rencontre, une amélioration des conditions de travail, une convention sensible au genre, faire davantage de la place aux femmes».
Le responsable du volet genre du SYNPICS a, en effet, souligné que «les conclusions seront faites sous forme d’articles qui vont être intégrés dans la convention collective qui régit la profession de journalisme au Sénégal».
La directrice du CESTI, Eugène Aw qui a salué l’initiative a fait savoir que son école «est disposée à accueillir des journalistes pour une formation sur la question genre».
Le journaliste du journal «Le Quotidien», Aly Fall a, pour sa part, soutenu qu’«il est temps que la dimension genre soit revue au niveau des rédactions». Il a, à ce propos, plaidé pour un rapport d’égalité.
La consœur du journal «L’Observateur», Mme Ndiaye née Fatou Bintou Konté a invité les directeurs d’organes à beaucoup plus de compréhension. «Il faut suivre la logique et ne pas tenir en compte les paramètres sociaux pour priver les femmes de promotion», a-t-elle affirmé. Fatou Binetou Konté de poursuivre : «les conclusions qui sortiront de cet atelier devraient permettre aux femmes d’acquérir plus de droit dans les organes».
La secrétaire générale du SYNPICS, Diatou Cissé a, par ailleurs dans son plan d’action stratégique genre dans les médias, évoqué la nécessité de faire en sorte que les patrons de presse garantissent à tous les journalistes, sans distinction de sexe, des conditions de travail propices. Elle est revenue sur l’urgence de réviser la convention collective pour intégrer les questions de genre dans l’environnement professionnel des médias.
Cette rencontre va permettre de passer au crible les problèmes (manque de promotion, non implication dans les prises de décisions, conditions de travail des mères de famille, mariées, sécurité dans et en dehors du lieu de travail…) auxquels sont confrontées les femmes dans les organes de presse.
La responsable du volet genre du SYNPICS et conférencière, Boury Sock a indiqué que «l’objectif de cet atelier est de trouver des solutions à ces problèmes, d’avoir un mécanisme de promotion du genre au sein de la convention». La journaliste à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS) a, en outre, évoqué certaines difficultés sociales relatives à l’exercice du métier. «Les divorces sont liés aux conditions de travail. Les horaires de travail nous obligent à rester en dehors de notre famille. Nous voulons assurer et assumer nos deux rôles de femme (au foyer et au travail)», a-t-elle expliqué. Boury Sock a, dans le même régistre, fait comprendre : «ainsi, nous souhaitons à la sortie de cette rencontre, une amélioration des conditions de travail, une convention sensible au genre, faire davantage de la place aux femmes».
Le responsable du volet genre du SYNPICS a, en effet, souligné que «les conclusions seront faites sous forme d’articles qui vont être intégrés dans la convention collective qui régit la profession de journalisme au Sénégal».
La directrice du CESTI, Eugène Aw qui a salué l’initiative a fait savoir que son école «est disposée à accueillir des journalistes pour une formation sur la question genre».
Le journaliste du journal «Le Quotidien», Aly Fall a, pour sa part, soutenu qu’«il est temps que la dimension genre soit revue au niveau des rédactions». Il a, à ce propos, plaidé pour un rapport d’égalité.
La consœur du journal «L’Observateur», Mme Ndiaye née Fatou Bintou Konté a invité les directeurs d’organes à beaucoup plus de compréhension. «Il faut suivre la logique et ne pas tenir en compte les paramètres sociaux pour priver les femmes de promotion», a-t-elle affirmé. Fatou Binetou Konté de poursuivre : «les conclusions qui sortiront de cet atelier devraient permettre aux femmes d’acquérir plus de droit dans les organes».
La secrétaire générale du SYNPICS, Diatou Cissé a, par ailleurs dans son plan d’action stratégique genre dans les médias, évoqué la nécessité de faire en sorte que les patrons de presse garantissent à tous les journalistes, sans distinction de sexe, des conditions de travail propices. Elle est revenue sur l’urgence de réviser la convention collective pour intégrer les questions de genre dans l’environnement professionnel des médias.